Marie Mahé, Media365 : publié le jeudi 02 janvier 2025 à 17h00
Après avoir battu Gaël Monfils, pour la 20eme fois en autant de duels, le Serbe Novak Djokovic a rendu hommage au Français.
C'est un adversaire contre lequel Gaël Monfils n'a jamais trouvé la solution. Ce jeudi, le Français, 55eme joueur mondial, a perdu contre Novak Djokovic pour la 20eme fois de sa carrière, en autant de duels déjà disputés. Dans le cadre des huitièmes de finale du tournoi ATP 250 de Brisbane en Australie, le Serbe, 7eme joueur mondial et tête de série n°1, s'est imposé en deux manches (6-3, 6-3) et 1h14 de jeu. A l'issue de cette rencontre, Djokovic, qui défiera, à l'occasion des quarts de finale, l'Américain Reilly Opelka, 293eme joueur mondial, est passé par la traditionnelle conférence de presse d'après-match.
Djokovic : "Il est tellement athlétique, c'est un super gars"
Dans des propos rapportés par le site internet spécialisé Tennis Actu, le Serbe est, dans un premier temps, revenu sur sa rencontre : "Je veux dire que son jeu me convient bien. Dans une certaine mesure, plus vous gagnez contre quelqu'un, plus vous êtes heureux de jouer contre lui (sourire). Oui, je veux dire que nous avons eu des batailles vraiment difficiles. Il y a eu quelques matchs où il n'était qu'à un point. Je pense qu'à Dubaï, il y a quelques années, il a eu deux balles de match et aurait dû gagner ce match. Cela arrive, c'est tout. Lorsque vous êtes dans une mauvaise passe, cela vous affecte aussi mentalement." Avant de poursuivre, en rendant un bel hommage au Tricolore : "Mais je pense qu'il mérite d'être félicité pour avoir continué à jouer à un niveau aussi élevé à son âge. Il est tellement athlétique, c'est un super gars. C'est un homme très sympathique qui est aimé par des millions de personnes, et ce n'est pas sans raison. C'est un grand animateur, un grand charisme. C'est le meilleur danseur de la tournée, c'est certain. Il a fait le tour du monde. Il a été un joueur du top 10. Il a participé à de nombreux tournois du Grand Chelem. Il aime les grandes scènes, les grands stades."