WTA / Osaka : " Cette année ne fut pas la meilleure pour moi "

Marie Mahé, Media365, publié le lundi 19 septembre 2022 à 17h00

En marge du tournoi de Tokyo dont elle est tenante du titre, Naomi Osaka est notamment revenue sur son année 2022 plutôt compliquée.

Elle en est elle-même lucide. Cette saison 2022 a été particulièrement compliquée pour Naomi Osaka. La Japonaise, redescendue à la 48eme place mondiale, va tenter de se ressaisir dès cette semaine, du côté de Tokyo au Japon. Un tournoi WTA 500 dont elle est la tenante du titre, après s'être imposée lors de l'année 2019 avant deux années d'interruption en raison de la pandémie de Covid-19. Toutefois, son rang actuel ne lui permettra pas d'être tête de série, pour cette édition 2022, où elle affrontera, à l'occasion du premier tour, l'Australienne Daria Saville, actuelle 55eme joueuse mondiale. Naomi Osaka est passée par la traditionnelle conférence de presse d'avant-tournoi.

Osaka reste sur une élimination au premier tour de l'US Open

Et dans des propos rapportés par le site internet spécialisé Tennis Actu, l'ancienne numéro 1 mondiale a ainsi notamment déclaré : "Je pense bien sûr que cette année ne fut pas la meilleure pour moi, mais je pense qu'au-delà de ça j'ai énormément appris sur moi-même, je suis juste contente d'être en forme car en Europe je me suis blessée et c'était la première blessure pour laquelle j'ai mis du temps à me remettre. Je pense que la vie c'est des hauts et des bas, et cette année fut plus marquées par les bas, mais je suis quand même heureuse d'être où je suis actuellement. C'est dur, car je sens que je devrais être à un niveau où je ne suis absolument pas actuellement. Je sens que pour moi ce qui va être le plus important c'est d'être en paix avec moi-même." Lauréate d'un total de quatre tournois du Grand Chelem, depuis le début de sa carrière de joueuse de tennis, la Japonaise fait son grand retour sur un court, depuis son élimination au premier tour de l'édition 2022 de l'US Open, le 31 août dernier, face à l'Américaine Danielle Collins.

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