Groupama-FDJ / Martinez : « Rien n'a été fait pour le moment »

Groupama-FDJ / Martinez : « Rien n'a été fait pour le moment » ©Icon Sport, Media365
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Marie Mahé, Media365, publié le vendredi 12 avril 2024 à 11h20

Ce jeudi, au micro de la chaîne L'Equipe, le Français Lenny Martinez (20 ans, Groupama-FDJ) est notamment revenu sur les rumeurs concernant son avenir, alors que son nom est cité avec insistance du côté de la Bahrain-Victorious.

L'avenir de Lenny Martinez n'en finit décidément plus de secouer la rubrique transferts en cyclisme, depuis désormais quelques jours. Cette saison, le Français (20 ans), actuel pensionnaire de l'équipe cycliste française Groupama-FDJ, avec qui il est encore sous contrat jusqu'à la fin de cette saison, continue de se révéler au grand public. Ses belles performances, en ce début d'année 2024, avec, notamment, des victoires lors de la Classic Var et au Trofeo Laigueglia, attire les grosses écuries et son nom est cité du côté de la formation cycliste Bahrain-Victorious. Selon différents médias, les deux parties se seraient même déjà mises d'accord.

Madiot : "Les moyens ne sont pas les mêmes en France"

Ce jeudi, au micro de la chaîne L'Equipe, Martinez est notamment revenu sur les rumeurs qui concernent son avenir et a opté pour une temporisation : « Les contrats ne sont pas signés avant août, rien n'a été fait pour le moment. Il y a forcément des rumeurs qui sortent quand on discute avec d'autres équipes ou même la Groupama-FDJ. Mais c'est une phase normale quand on est en fin de contrat. J'essaie de ne pas trop regarder ce qui se dit sur les réseaux. C'est sûr, c'est devenu viral, mais c'est un peu ça tous les ans. Il faut vivre avec. » Au sein de la formation cycliste française Groupama-FDJ, on aimerait évidemment conserver ce jeune talent. A l'image du manager de cette écurie, à savoir Marc Madiot, qui a, malgré tout, reconnu qu'il sera forcément bien compliqué de lutter contre de grandes formations étrangères : « Les moyens ne sont pas les mêmes en France. On a des coûts de fonctionnement et des coûts salariaux qui sont 40 % supérieurs à ce qui se pratique à l'étranger. On a des limites budgétaires qui font que c'est difficile de lutter sur le plan mondial. Les objectifs de nos partenaires sont avant tout d'avoir un retour sur investissement, c'est quelque chose de réfléchi. »

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