Guillaume Marion, Media365 : publié le mercredi 09 août 2023 à 23h40
Battu ce mercredi soir à Athènes par le Panathinaïkos (1-0), l'Olympique de Marseille a très mal débuté sa campagne européenne en C1. Retour sur les chiffres clés de cette rencontre.
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Au stade Apostolos-Nikolaïdis, si Marcelino avait décidé d'aligner une équipe plutôt offensive au coup d'envoi, avec notamment la présence devant d'Ismaïla Sarr, d'Iliman Ndiaye, d'Azzedine Ounahi et de Pierre-Emerick Aubameyang, l'OM a notamment déçu offensivement. Avec seulement trois tirs dans ce match, les Phocéens ont eu beaucoup de mal à inquiéter la défense grecque. En fin de première période (45eme), Ounahi a d'ailleurs cadré la seule tentative de son équipe, mais Alberto Brignoli était sur la trajectoire. Il faudra faire bien mieux au retour à l'Orange Vélodrome, le 15 août (21h).
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Entre la très triste fin de saison dernière des Olympiens, battus par Lille (2-1), Brest (1-2) et Ajaccio (1-0), et cette défaite contre le Panathinaïkos (1-0), lors du match aller du 3eme tour préliminaire de la Ligue des Champions, l'équipe du président Pablo Longoria est en désormais à quatre défaites de suite toutes compétitions confondues. C'est la pire série du club marseillais depuis janvier 2021. Une réaction est attendue dès ce samedi face à Reims (17h).
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Avec pour être précis 32,8 % de possession ce mercredi soir à Athènes, les Phocéens ont globalement très peu touché le ballon dans cette rencontre. Après Jorge Sampaoli et Igor Tudor dernièrement, les supporters de l'OM ne devaient plus être habitués à ça. Et les joueurs aussi. En effet, les coéquipiers de Leonardo Balerdi n'avaient plus eu un aussi faible pourcentage de possession dans une rencontre depuis le 4 octobre 2020. C'était à Lyon, avec 32,3 % ce jour-là (match nul 1-1).
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Pour sa première rencontre officielle avec Marseille, Geoffrey Kondogbia espérait sans doute faire mieux. S'il a montré des choses intéressantes sur le terrain, l'ancien de l'Atlético de Madrid a aussi été averti sévèrement après une trentaine de secondes de jeu. Par la suite, le milieu a finalement était exclu en seconde période, après une faute plus nette sur Filip Djuricic. Le Centrafricain a donc laissé son équipe en infériorité numérique à la 65eme minute du jeu. À 10, l'OM a fini par craquer en fin de match (83eme).