Guillaume Marion, Media365 : publié le mercredi 25 septembre 2024 à 17h55
Logiquement marqués par la défaite subie contre l'OM dimanche dernier (2-3), les Lyonnais espèrent bien pouvoir se relancer dès ce jeudi soir face à l'Olympiacos en Ligue Europa.
Après une folle fin de saison l'an dernier, qui leur a permis d'arracher une qualification en Ligue Europa, les Gones vivent actuellement un début d'exercice 2024-25 bien plus compliqué. En effet, avec quatre points après cinq journées de Ligue 1, les joueurs de Pierre Sage pointent pour le moment à la 14eme place au classement. Si Lyon semblait aller mieux (victoire contre Strasbourg et match nul à Lens), le club rhodanien a rechuté dimanche dernier lors de l'Olympico. Face à un OM rapidement réduit à dix, les coéquipiers d'Alexandre Lacazette ont connu la défaite au terme d'un match complètement fou (2-3). « Le lendemain (lundi), c'était très difficile de se réveiller, on est nombreux à avoir eu une courte nuit. Maintenant, on sait aussi que ça fait partie du football », a reconnu ce dernier, ce mercredi, en conférence de presse.
Lacazette : « Il faut passer à autre chose »
« On était plus que vexés, on était déçus de nous, moi le premier, on avait le sentiment d'avoir loupé quelque chose de grand. Il faut passer à autre chose et ce match est intéressant pour nous, c'est le retour de Lyon en Europe et on a envie de bien commencer devant notre public », a par la suite déclaré Lacazette, avant de défier l'Olympiacos ce jeudi soir (21h), lors de la 1ere journée de la Ligue Europa. Déjà sous pression, Sage a visiblement hâte de défier les récents vainqueurs de la Ligue Europa Conférence pour que son équipe montre un autre visage. « Forcément, il y a un coup au moral après une désillusion comme celle-ci et un scénario aussi cruel, mais dans tous les cas on n'a pas le temps de se taper trop la tête contre les murs, de remettre trop les pendules à l'heure, même si c'est nécessaire, a expliqué l'entraîneur de Lyon. On s'est vite remis au travail, et la meilleure chose dans ce cas-là c'est de vite retourner sur le terrain. »