Paris 2024 : Hidalgo fait le point sur la cérémonie d'ouverture sur la Seine

Guillaume Marion, Media365, publié le mercredi 17 avril 2024 à 10h55

Présente mardi à Olympie pour la cérémonie d'allumage de la flamme, Anne Hidalgo en a profité pour évoquer la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024, qui aura lieu le 26 juillet.

A désormais 100 jours du début des Jeux Olympiques de Paris 2024 (26 juillet - 11 août), les choses sérieuses se précisent de plus en plus dans la capitale française. Mardi, les regards étaient notamment tournés vers la Grèce, où s'est déroulée la cérémonie d'allumage de la flamme à Olympie. Présente à cette occasion, Anne Hidalgo n'a pas caché son émotion par rapport à cela. « Ça m'émeut toujours de voir qu'on est capable, dans un monde qui va si mal avec autant de guerres, d'apporter de façon très concrète, un message de fraternité », a notamment expliqué la maire de Paris, avant d'évoquer plus en détails la cérémonie d'ouverture des JO qui aura normalement lieu le 26 juillet prochain sur la Seine. « Je travaille sur un plan A et je ne connais pas les autres plans. Nous avons la chance d'avoir en France de très grands professionnels de la sécurité, de l'organisation des grands événements », a par la suite rappelé cette dernière.

Environ 326 000 personnes attendues le 26 juillet

« On a organisé l'Euro 2016 juste après les attentats de 2015. Ç'a été une réussite extraordinaire. Evidemment, il ne faut être ni naïf ni dans la légèreté par rapport à la responsabilité qui est la nôtre. (...) Je suis très favorable à ce schéma, on l'a défini ensemble. Il va y avoir 222 000 personnes sur les quais hauts et 104 000 sur les quais bas, donc 326 000 environ au total. Sur les quais hauts, les places seront gratuites, sur invitation, parce qu'il faut aussi organiser les choses, a également déclaré Hidalgo, dans des propos recueillis par L'Equipe. Ces invitations sont destinées d'abord à la population parisienne, aux familles, aux enfants qui vont pouvoir profiter de ce moment absolument historique. » Pour rappel, lundi, le président de la République Emmanuel Macron avait reconnu que des solutions de repli étaient également étudiées, à savoir au Trocadéro voire même au Stade de France si besoin.

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