Aulas voit le PSG champion d'Europe

Aulas voit le PSG champion d'Europe ©Icon Sport, Media365

Paul Rouget, Media365 : publié le mardi 30 avril 2024 à 11h57

L'ancien président lyonnais Jean-Michel Aulas "pense franchement que c'est la bonne année" pour le PSG, en quête d'une première Ligue des champions et opposé à Dortmund en demi-finales.

Tout juste sacré champion de France pour la 12e fois de son histoire, le Paris Saint-Germain poursuit mercredi la conquête de son graal, avec son déplacement à Dortmund en demi-finale aller de la Ligue des champions. Seul club du dernier carré, qui comprend également le Real Madrid et le Bayern Munich, à ne jamais avoir réussi à remporter la prestigieuse compétition européenne, le PSG peut y croire selon l'ancien président lyonnais Jean-Michel Aulas. "Est-ce que c'est la bonne année pour Paris ? Oui, je le pense, en essayant de réfléchir aux motivations. Certes, Kylian (Mbappé) va s'en aller. Mais qui plus que lui a envie de la gagner avec son club qui l'a accueilli pendant des années ?", a-t-il d'abord expliqué lundi à Paris, en marge de la cérémonie des Trophées de la D1 Arkema. Avant de faire référence à son ancien joueur, Bradley Barcola, cédé par l'OL dans les dernières heures du mercato estival moyennant quelques 50 millions d'euros, et qui a commencé à s'imposer dès sa première saison dans la capitale.

Aulas fan de Luis Enrique

"Il y a de très bons joueurs, dont un qui vient de Lyon qui est très fort en ce moment et une dynamique de victoires, une dynamique offensive très importante, a rappelé Aulas, saluant également le travail de Luis Enrique. C'est un entraîneur que j'apprécie personnellement depuis des années, qui donne à ce Paris Saint-Germain une nouvelle ambition. Je pense franchement que c'est la bonne année. Je voyais un rival qui était Manchester City, qui est resté sur le carreau contre Madrid. Ce sont les raisons qui me laissent à penser que c'est possible. Et si j'ai la possibilité de le faire, j'irai voir à Dortmund et en finale à Wembley comment les choses peuvent se passer", a conclu le vice-président de la Fédération française de football.

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