Marie Mahé, Media365, publié le mercredi 15 janvier 2025 à 08h30
Ce mercredi, le Français Benjamin Bonzi a validé son ticket pour le troisième tour de l'Open d'Australie. De son côté, Hugo Gaston a abandonné.
Benjamin Bonzi trace sa route. Ce mercredi, le Français, 64eme joueur mondial, s'est qualifié pour le troisième tour de l'Open d'Australie, sur dur, après sa victoire contre l'Italien Francesco Passaro, 104eme joueur mondial et lucky loser, en quatre manches (6-2, 6-4, 3-6, 6-4) et 2h12 de jeu. Dans la première manche, le Français a été contraint de sauver une balle de break d'entrée. A 2-2, le Tricolore a raté deux opportunités de break, avant de prendre le service de son adversaire du jour à sa troisième opportunité, puis d'enchaîner avec un double-break. Dans la foulée, le 64eme joueur mondial a tranquillement empoché cette première manche, sur son propre service et grâce à un ultime jeu blanc (6-2). Dans la deuxième manche, à 2-2, le Français s'y est repris à deux fois pour réussir un nouveau break, tout comme au moment de conclure, sur sa mise en jeu, pour mener deux sets à zéro (6-4).
Gaston touché aux abdominaux
Dans la troisième manche, le Tricolore a réussi le break d'entrée, avant d'être débreaké dans la foulée. A 2-3, Benjamin Bonzi a perdu un nouveau service. Ce qui a permis à l'Italien de faire la course en tête, pour revenir à une manche à deux, sur un ultime jeu blanc (6-3). Enfin, dans la quatrième et dernière manche, à 1-1, le 64eme joueur mondial a dû sauver quatre balles de break, puis deux autres à 4-4. Finalement, au meilleur des moments, à 5-4, le Français a conclu sur le service de son concurrent, et après un total de deux balles de match, pour s'offrir le droit de poursuivre l'aventure à Melbourne (6-4). Son prochain adversaire sera le Tchèque Jiri Lehecka, 29eme joueur mondial et tête de série n°24, qui s'est qualifié suite à l'abandon d'un autre Français, en la personne d'Hugo Gaston, 81eme joueur mondial, dans la deuxième manche (6-3, 3-1) et après 1h00 d'efforts. Touché aux abdominaux, Gaston a préféré dire stop.