Paul Rouget, Media365 : publié le lundi 21 mars 2022 à 09h51
D'après les joueurs du XV de France, le trophée du Tournoi des 6 Nations, qu'ils ont soulevé après avoir battu l'Angleterre samedi, serait désormais introuvable... Mais il serait en réalité bien en lieu sûr.
Comme Antoine Dupont ou Damian Penaud, certains joueurs du XV de France ont posé avec le trophée du Tournoi des 6 Nations dans les bras en faisant semblant de dormir alors qu'ils étaient dans le car les ramenant du Stade de France samedi soir, après leur brillante victoire face aux Anglais (25-13), synonyme de premier sacre mais aussi de premier Grand Chelem depuis 2010. Mais, évidemment, ils ne dormaient pas. Et on ne sait toujours pas s'ils ont pu le faire depuis...
Car la nuit a dû être longue et belle pour les hommes de Fabien Galthié, qui ont conquis ce titre dans une ambiance indescriptible, avant de prolonger la fête dans le vestiaire. Mais ce n'était que le début. Ils ont tellement célébré que le trophée serait aujourd'hui introuvable, à en croire Penaud, qui était interviewé par le Canal Rugby Club dimanche soir. "Le trophée a passé une bonne nuit mais je ne l'ai pas eu toute la soirée. Je sais qu'il a fini dans la Seine à 6h du matin. Mais sinon après, je n'ai pas d'autres informations concernant le trophée. Je ne sais pas où il est !", a ainsi avoué le Clermontois.
Le plongeon de Couilloud...
"C'est vrai qu'on ne l'a pas vu aujourd'hui, c'est inquiétant", confirmait en riant Laurent Labit, en charge de l'animation offensive des Bleus. Cameron Woki était lui aussi dans l'incertitude. "Je ne savais même pas pour le trophée ! A part dans le vestiaire, je n'ai plus vu le trophée ensuite ! Vous m'apprenez un truc là (rire) !", a ainsi reconnu le Bordelais, hilare. Et Romain Ntamack a fini par délivrer un indice sur le sujet : "Je crois que Baptiste Couilloud a fait un petit plongeon pour voir si il n'était pas dedans (la Seine, ndlr)." Selon RMC, le trophée serait toutefois bien en lieu sûr. Dupont l'aurait rapporté après les festivités, avant qu'un membre de l'encadrement des Bleus ne se charge de le ramener à Marcoussis.