F1 : Les cinq plus grands pilotes Ferrari de l'histoire

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Thomas Siniecki, Media365 : publié le vendredi 02 février 2024 à 23h34

Si Lewis Hamilton aspire à rejoindre cette caste, il lui faudra impérativement ramener un titre à la Scuderia.

Michael Schumacher, la légende

Le plus grand pilote de tous les temps, rejoint au nombre de titres par Lewis Hamilton en 2020, a remporté cinq de ses sept couronnes avec la Scuderia - de 2000 à 2004 -, où son mythe a malheureusement été encore renforcé par son terrible accident de ski qui le laisse dans un état végétatif depuis plus de dix ans (en décembre 2013). Il détient tous les records chez Ferrari, où il a passé dix années de 1996 à 2006 : 180 Grands Prix et 72 victoires, soit un ratio hallucinant de 40%.

Alberto Ascari, l'Italien

Treize victoires en seulement 27 courses, c'est encore meilleur avec 48% de succès qui ont abouti à deux titres de champion du monde en 1952 et 1953, les deux premiers de l'histoire de la Scuderia. Il est mort en essais privés à Monza l'année suivante, celle de son transfert vers Lancia, dans le virage qui porte désormais son nom. C'est LE mythe italien de Ferrari.

Niki Lauda, le miraculé

C'est dans une Ferrari que l'Autrichien - décédé en 2019 - a été gravement brûlé en 1976, au coeur de ses deux titres en 1975 et 1977. Devenu par la suite dirigeant de renom chez Mercedes, il a été un symbole inattendu de l'écurie italienne, loin d'être arrivé dans un climat de confiance.

Kimi Räikkönen, le taulier

On a parfois tendance à l'oublier, mais le Finlandais est resté un temps infini au sein du constructeur le plus prestigieux de l'histoire. Avec 151 Grands Prix, il est le deuxième derrière Michael Schumacher. Champion dès sa première année en 2007, il est d'abord resté jusqu'en 2009 avant de revenir de 2014 à 2018.

Juan Manuel Fangio, l'éclair

L'Argentin, parfois encore considéré par certains comme le meilleur, notamment au vu des risques encourus à son époque, n'a disputé que sept courses en une année chez Ferrari. Mais il en a gagné trois, suffisant pour s'y adjuger un de ses cinq titres mondiaux en 1956.

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