Marie Mahé, Media365 : publié le mercredi 14 février 2024 à 17h40
D'après les informations de Midi Libre et de L'Equipe, le pilier droit international français Mohamed Haouas (29 ans) va quitter Biarritz et faire son grand retour à Montpellier, son club formateur.
Comme on se retrouve. Selon les informations du Midi Libre, qui a révélé cette information dès le début de ce mois de février, le pilier droit international français Mohamed Haouas, aujourd'hui âgé de 29 ans et qui compte seize sélections, s'apprête à quitter le club basque de Biarritz, qu'il a rejoint l'été dernier, pour un total d'une saison plus une autre en option, qui n'a finalement pas été activée. Un club qui occupe actuellement la quinzième et avant-dernière place du classement du championnat de France de deuxième division après un total de 19 rencontres de Pro D2 déjà disputées. Pour signer, dans les prochaines heures, un nouveau bail et retrouver la formation de Montpellier, qui occupe actuellement la dernière place du classement du championnat de France de rugby après un total de quatorze rencontres de Top 14 déjà disputées.
Haouas devrait signer un contrat d'une saison
Une écurie que le principal intéressé connaît déjà parfaitement bien. Puisque c'est au sein du MHR que le natif du Havre a été formé. Avant d'y faire ses premières gammes dans le monde professionnel, et plus précisément entre les années 2016 et 2023. Avant de partir lors du mois de juillet dernier. Le prochain contrat du pilier droit devrait porter sur une saison, à partir du prochain exercice. A ce sujet, le quotidien sportif français L'Equipe rapporte qu'un accord a d'ores et déjà été trouvé entre les deux parties. Une situation qui réjouirait le principal intéressé, désireux de relancer sa carrière dans l'élite. Ces derniers mois, Haouas a beaucoup fait parler de lui sur le plan extra sportif. Lors du mois de mai dernier, le pilier droit avait été condamné à un an de prison ferme, pour violences conjugales. En juin, l'international français avait écopé d'une peine de 18 mois dont neuf ferme, pour violences aggravées, concernant des faits remontant à 2014. Une décision dont il a, depuis, fait appel.