Paul Rouget, Media365 : publié le vendredi 19 novembre 2021 à 14h22
Adil Rami a révélé qu’il avait fait une drôle de découverte lors de son arrivée à Troyes, avec qui le champion du monde tricolore vient d’enchaîner trois titularisations consécutives…
Il commence à s’installer. Après avoir effectué ses grands débuts avec Troyes il y a un peu plus d’un mois contre Nice au stade de l’Aube, où il était entré à la demi-heure de jeu suite à la blessure à l’épaule d'Oualid El Hajjam, Adil Rami a été titularisé lors des trois dernières rencontres de l’ESTAC, à Reims, face à Rennes, contre qui il a marqué son premier but sous ses nouvelles couleurs, puis sur la pelouse de Lens avant la trêve internationale.
Toujours aussi espiègle
Dans un entretien au Parisien, le défenseur de 35 ans, qui va fêter son 36e anniversaire le mois prochain et est toujours aussi espiègle, a avoué qu’il devait initialement aller jouer aux Etats-Unis après son départ de Boavista. Mais l’appel du championnat de France a été plus fort. "La Ligue 1, c’est vraiment devenu une belle marque", confie celui qui a "passé plus de la moitié de (sa) carrière à l’étranger. Et j’en avais un peu marre de toujours me concentrer pour trouver le mot juste dans une autre langue."
"On a plus parlé de mon slip"
Le champion du monde 2018 a aussi révélé le clin d’œil que lui ont fait ses coéquipiers, par rapport à ses « exploits » - hors terrain - lors de la campagne victorieuse des Bleus. "J’ai trouvé un extincteur dans mon casier pour rappeler celui dont je m’étais servi pendant le Mondial en Russie, a-t-il ainsi lâché, regrettant par ailleurs qu’on lui donne parfois "plus d’importance que le club. Regardez, pour mon premier match ici, contre Nice, on a plus parlé de mon slip que du match. Parce qu’on voyait bien mon sexe à travers mon short ! Eh oui, c’est ce qu’il y avait sur les réseaux sociaux ! J’ai compris que je ne suis plus seulement un joueur pour plein de gens. Je suis aussi un slip !"