Paul Rouget, Media365 : publié le samedi 27 avril 2024 à 11h03
Découvrez les principaux enjeux de la 22e journée de Top 14, qui débute par un choc entre le Stade Toulousain et le Racing 92.
Toulouse-Racing, comme on se retrouve
C'est un choc entre le deuxième et le troisième du classement qui va ouvrir cette 22e journée de Top 14. Le Stade Toulousain reçoit le Racing 92 samedi après-midi (15h), un adversaire que les hommes d'Ugo Mola ont déjà dominé fin janvier en championnat puis il y a trois semaines en huitièmes de finale de la Champions Cup. Si les Franciliens sont revanchards et ont le vent en poupe après quatre victoires de rang, leurs hôtes hauts-garonnais, qui avaient fait beaucoup tourner le week-end dernier contre Toulon (19-20), ressortent l'armada, même si Antoine Dupont démarrera sur le banc.
Oyonnax veut juste gagner
Ils n'y croient plus vraiment. Derniers du classement avec 12 points de retard sur Montpellier (13e), les joueurs d'Oyonnax sont quasiment condamnés à la descente en Pro D2, même si ce n'est pas encore (mathématiquement) fait. Après dix matchs sans victoire en championnat (neuf défaites et un nul), ceux qui n'ont plus gagné en Top 14 depuis leur succès face à Pau fin décembre espèrent enfin y goûter à nouveau samedi après-midi (17h) contre Castres (9e), toujours en course pour les phases finales. Car avant de rêver à un improbable maintien, Joe El Abd, manager d'« Oyo », veut surtout "gagner un match".
Le Stade Français doit se méfier
Sur une série de trois victoires de rang et plus que jamais leader, le Stade Français, qui possède six longueurs d'avance sur son dauphin toulousain, se déplace à Clermont samedi soir (21h05), avec l'ambition de conforter sa première place et de se rapprocher d'une qualification directe pour les demi-finales. Mais les Jaunards n'ont eux pas le choix. Laminés par l'UBB (7-41), ils ne sont pas encore sauvés et doivent engranger des points pour assurer leur maintien. Christophe Urios a décidé de procéder à sept changements, avec notamment les retours de Fritz Lee et George Moala.