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Cette année, le Tour de France s’est offert trois passages atypiques : Mur de Huy, Mûr-de-Bretagne et montée Jalabert. Ces difficultés, trop faciles pour les purs grimpeurs et trop dures pour les sprinteurs, sont généralement le théâtre de beau spectacle. « On veut trouver des étapes qui sont différentes (…) des arrivées où les puncheurs peuvent s’exprimer », explique Christian Prudhomme. Le but ? «Eviter le même scénario et la même arrivée » plusieurs jours d’affilée, poursuit le directeur du Tour. Pour Tony Gallopin, ces difficultés « demandent de la technique » même si « au final, c’est toujours le meilleur qui gagne ».