Marie Mahé, Media365 : publié le jeudi 30 décembre 2021 à 20h00
Dans l'attente de tests PCR, les Clermontois préparent leur prochaine rencontre de Top 14, via WhatsApp.
La pandémie de coronavirus complique décidément plus que sérieusement le monde du sport. Entre reports, affiches tronquées, les clubs et autres formations sportives doivent ainsi s'adapter et faire également au mieux. Le Top 14 n'est donc évidemment pas épargné. Si certaines rencontres n'ont ainsi pas échappé au report, certaines des formations du championnat de France de rugby font tout pour éviter cela. C'est notamment le cas de Clermont. Les Auvergnats préparent même actuellement leur future rencontre, programmée contre le Stade Toulousain, via WhatsApp. C'est ce que Arthur Iturria a confié à Rugbyrama : "Cette pandémie ne nous permet pas de nous préparer de la meilleure des manières c'est certain, mais nous sommes des grands garçons, il n'y a pas d'excuse. On a tous travaillé par portable en début de semaine. Nous les gros, on a travaillé les touches par Whatsapp, on a reçu les méthodes en vidéo et tout était prêt à l'entraînement."
Les résultats des tests PCR de ce vendredi seront déterminants
Ce qu'a également confirmé Marvin O'Connor : "Comme Arthur, nous aussi nous avons reçu des lancements et des plans de jeu à mettre en place dès aujourd'hui et évidemment pour le match de ce week-end. On a un groupe avec tous les joueurs et pour l'instant ça fonctionne bien." Le tout afin d'être sûrs de pouvoir disputer ce fameux match, prévu pas plus tard que ce samedi soir, à 21h05, du côté du stade Marcel-Michelin. Dans tous les cas, cette rencontre connaîtra ainsi son sort définitif ce vendredi, lors des résultats des tests PCR pratiqués sur les différents joueurs concernés par ce duel tant attendu, dans le clan auvergnat. C'est donc pour cela et dans cette attente que cette rencontre est ainsi préparée à distance. Une rencontre que les Clermontois attendent certainement avec une grande impatience, eux qui n'ont plus disputé le moindre match depuis désormais deux semaines.