Faraj Benlahoucine, Media365, publié le mardi 12 novembre 2024 à 16h53
Piégé dans une situation périlleuse après un vol en parapente, Marc Lièvremont a été secouru avec succès par les gendarmes de La Réunion. L'ancien sélectionneur du XV de France a frisé le drame.
Au sortir de la 9eme journée de Top 14 achevée il y a neuf jours, le championnat de France de rugby a entamé une pause de trois semaines durant la trêve internationale. Par conséquent, le diffuseur Canal+ a naturellement pu octroyer des congés à ses commentateurs et consultants de la balle ovale parmi lesquels Marc Lièvremont en a profité pour vivre des sensations fortes à La Réunion. Cependant, l'ancien sélectionneur du XV de France y est allé un peu fort et a peut-être connu la frayeur de sa vie.
S'adonnant à un vol en parapente afin de profiter des paysages splendides de l'île Bourbon, le Catalan s'est retrouvé pris au piège dans la commune de Saint-Joseph, coincé à 500 mètres du sol sur un rempart nous apprend ce mardi la Gendarmerie de La Réunion. "Marc Lièvremont est devenu contre son gré un spectateur des techniques alpines déployées par les militaires du PGHM pour lui porter secours. Après de nombreux efforts et des émotions fortes, c'est avec bonheur que les sauveteurs et Marc Lièvremont ont pris la pose pour immortaliser ce secours" a commenté un gendarme.
Marc Lièvremont : "J'ai eu de la chance, il ne faut pas jouer avec ça"
Tout sourire aux côtés des sauveteurs l'ancien 3eme ligne tricolore est néanmoins conscient d'avoir évité le pire. "J'adore ça mais là, je me dis que j'ai eu vraiment de la chance et qu'il ne faut pas jouer avec ça. J'ai brûlé un joker et je n'en aurai peut-être pas deux" a-t-il réagi dans les colonnes de Midi Libre. Et pour cause. Il a confié s'être retrouvé impuissant et suspendu à une branche lorsque sa voile s'est empêtrée puis déchirée au contact de la végétation. Plus de peur que de mal donc, les téléspectateurs retrouveront à partir du 23 novembre le consultant aux commentaires des rencontres de Top 14, aux côtés d'Eric Bayle.