Marie Mahé, Media365 : publié le jeudi 10 décembre 2020 à 12h00
Ce mercredi soir, le Bayern Munich s'est imposé contre le Lokomotiv Moscou (2-0), à l'occasion de la 6eme et dernière journée de la phase de poules de la Ligue des Champions. Dans une équipe remaniée, Alphonso Davies a effectué son grand retour, après un mois et demi d'absence, pour le plus grand bonheur de son entraîneur, Hans-Dieter Flick.
Il devait certainement commencer à trouver le temps long. Ce mercredi soir, à l'occasion de la 6eme et dernière journée de la phase de poules de la Ligue des Champions, l'ailier (ou latéral gauche) international canadien Alphonso Davies (20 ans) a été titularisé, lors de la victoire du Bayern Munich, contre le Lokomotiv Moscou (2-0). Un petit événement dans la mesure où le joueur n'avait plus disputé la moindre petite minute de jeu, depuis le 24 octobre dernier. Ce jour-là, lors de la 5eme journée de Bundesliga face à l'Eintracht Francfort (5-0), Alphonso Davies avait alors dû céder sa place, dès la 3eme minute de jeu, au défenseur central (ou latéral gauche) international français Lucas Hernandez (24 ans).
Davies a souffert d'une déchirure à un ligament d'une cheville
Et pour cause, le jeune footballeur de 20 ans souffrait alors d'une déchirure à un ligament d'une cheville. Une blessure qui lui a ainsi donc fait manquer un total de neuf rencontres, toutes compétitions confondues, avec son club. Contre le Lokomotiv Moscou, le Canadien n'a disputé que 69 minutes de jeu, avant de finir par céder sa place à Lucas Hernandez. A l'issue de la rencontre, Hans-Dieter Flick est passé par la traditionnelle conférence de presse d'après-match.
Flick : « Il peut être content de son retour »
Dans des images partagées par Bayern TV, l'entraîneur du Bayern Munich est revenu sur le retour de son protégé et, à ce sujet, il a ainsi notamment déclaré : « Je pense qu'Alphonso Davies aurait également pu jouer 90 minutes. Ensuite, nous avons décidé de le faire jouer 45 minutes et de voir comment cela se passait. Après, j'ai continué à lui demander comment il se sentait. Puis, nous avons décidé de le remplacer. Je pense que c'était la bonne décision. A part ça, il peut être content de son retour. Nous sommes heureux, parce qu'il a ramené la qualité qui nous manquait. Nous sommes donc heureux qu'il soit de retour parmi nous. »