Axel Allag, Media365, publié le mercredi 23 octobre 2024 à 10h00
De retour en Bretagne ce mercredi, et désireux d'être plus constant dans un Bayer Leverkusen qu'il découvre, Martin Terrier se méfie du Brest d'Éric Roy.
Nouvel élément des champions d'Allemagne en titre depuis cet été, Martin Terrier est "très content" de revenir en Bretagne, après avoir passé "quatre très belles années" au Stade Rennais. Ce mercredi soir, sur la pelouse du Roudourou de Guingamp (18h45), il tentera de faire mal à une formation brestoise elle aussi invaincue en C1, comme le Bayer Leverkusen, dans une affiche qui promet. "Sur les matchs de Ligue des champions, on a vu des choses qui reviennent, comme leur état d'esprit conquérant. C'est une très belle équipe qu'il ne faut surtout pas sous-estimer", a prévenu celui qui doit encore parfaire son adaptation en Allemagne.
En recherche de constance, Terrier est à l'aise dans le système du Bayer
"J'apprends énormément du coach et de mes coéquipiers. Je suis quelqu'un à l'écoute et mon intégration s'est faite facilement. Ce qu'il me manque pour retrouver le Martin Terrier qu'on a connu en France, ce sont les statistiques mais aussi la constance", a avoué sans peine l'ancien élément du Stade Rennais, vantant le système mis en place par son entraîneur, Xabi Alonso. "Ce que j'aime, c'est que je peux jouer comme un deuxième attaquant ou comme un numéro 10 et me retrouver entre les lignes". A la manière de Florian Wirtz, positionné sur l'aile opposée.
Impressionné par l'intensité des entraînements, la marque de fabrique d'Alonso, Terrier a toutes les cartes en main afin de réussir dans sa nouvelle aventure aux yeux de son entraîneur, ravi de sa présence dans l'effectif. "Je pense qu'avec ses qualités comme l'intelligence, il pourrait nous aider. C'est sûr que nous voulons plus de lui mais nous voulons plus de chacun. Nous travaillons très fort. Je suis heureux qu'il soit avec nous. C'est un joueur spécial et une menace devant le but et il peut combiner avec les autres. C'est bien mais le meilleur reste à venir", a anticipé le natif de Tolosa.