Argentine : Martinez a refait sa célébration obscène

Argentine : Martinez a refait sa célébration obscène©Panoramic, Media365
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Paul Rouget, Media365 : publié le vendredi 24 mars 2023 à 14h07

Après le succès des Argentins face au Panama à Buenos Aires, Emiliano Martinez a reproduit sa célébration obscène de la finale du Mondial qatari, qu'il disait pourtant regretter...

Il assurait pourtant regretter sa célébration obscène, qui a fait le tour du monde. Elu meilleur gardien de la Coupe du monde au Qatar, Emiliano Martinez, héroïque en finale face à Randal Kolo Muani à la dernière minute de la prolongation puis lors de la séance de tirs au but, avait ensuite reçu le trophée récompensant le meilleur portier de la compétition, et fait un geste obscène en le plaçant devant son entrejambe... "C'était une chose stupide ce que nous avons fait avec les gars, c'est la seule chose dont je ne suis pas fier", avait-il expliqué dans un entretien accordé à ESPN. Un geste "stupide", donc, de son propre aveu, qu'il a reproduit jeudi soir au stade Monumental de Buenos Aires, mais avec une réplique du trophée de le Coupe du monde, après le match amical remporté par l'Argentine face au Panama (2-0). Un geste vulgaire qu'il a donc refait, hilare, en compagnie de certains de ses coéquipiers, comme Marcos Acuna, Guido Rodriguez, German Pezzella ou encore l'ancien gardien montpelliérain Geromino Rulli.


Un « Dibu », son surnom, rieur, alors qu'il était très ému avant, au moment des hymnes. Devant un public chauffé à blanc, qui a attendu le retour des champions du monde pendant de longues heures, et chanté à la gloire des héros, Martinez a semble très touché, comme Lionel Messi à ses côtés. L'attaquant parisien, auteur de son 800e but en carrière d'un somptueux coup franc, a ensuite entonné une chanson déjà lancée dans le vestiaire du stade de Lusail après le sacre face aux Bleus. Avec une petite différence : si Martinez et ses coéquipiers avaient dédié ce fameux chant à Kylian Mbappé, ils ont cette fois chanté : « Une minute de silence... pour la France qui est morte », après avoir eu une pensée pour le Brésil, leur éternel rival.

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