Marie Mahé, Media365 : publié le jeudi 02 mai 2024 à 13h20
Eliminé en quarts de finale à Madrid, Carlos Alcaraz avait des regrets mais il a malgré tout tiré du positif de sa semaine, à quelques jours du début du Masters 1000 de Rome.
Carlos Alcaraz ne fera pas la passe de trois. Ce mercredi, l'Espagnol, double tenant du titre, 3eme joueur mondial et tête de série n°2, a été renversé, en quarts de finale du Masters 1000 de Madrid, sur terre battue, par le Russe Andrey Rublev, 8eme joueur mondial et tête de série n°7, en trois manches (4-6, 6-3, 6-2) et 2h01 de jeu. De quoi avoir des regrets pour le principal intéressé, qui s'est exprimé à la fin de la rencontre, dans des propos rapportés par L'Equipe : "Ça fait mal de perdre, d'avoir des occasions et de ne pas en profiter. Je suis un peu enrhumé. Je me suis réveillé avec des raideurs dans tout le corps. (...) J'étais un peu plus faible mentalement qu'à d'autres moments. J'ai été plus du genre à me plaindre. Quelqu'un comme Rublev vous laisse peu d'opportunités, et si vous les manquez, ça fait mal. J'aurais dû être plus fort mentalement."
Alcaraz : "La semaine a été très positive"
Malgré tout, l'ancien numéro un mondial tire du positif de ces quelques jours de compétition. D'autant plus que le joueur, qui fêtera ses 21 ans ce dimanche, reste en délicatesse avec son avant-bras droit. Ce qui l'avait empêché de répondre présent pour le Masters 1000 de Monte-Carlo, puis pour le tournoi ATP de Barcelone : "La semaine a été très positive. Un jour avant le début du tournoi, je ne savais pas si j'allais pouvoir jouer, et j'ai atteint les quarts de finale. Jouer plusieurs matchs à un bon niveau, c'est positif aussi." Carlos Alcaraz est désormais concentré sur ses prochains objectifs. A commencer par le Masters 1000 de Rome, qui aura lieu du 8 au 19 mai. A ce sujet, l'Espagnol reste confiant : "(...) Je vais devoir travailler dur ces prochains jours, afin d'arriver vers mes 100 %, ou au moins dans un bon état à Rom. Ce sera un processus lent, je suppose. Je dois être patient. Mais je pense que je serai en mesure d'aller à Rome, oui."