Fabien Le Floc'h, Media365 : publié le jeudi 24 octobre 2024 à 20h03
Le milieu de terrain Maxime Lopez a reconnu que le rachat du Paris FC par la famille Arnault avais mis la pression à l'effectif du club parisien.
Le rachat du Paris FC par la famille Arnault et Red Bull n'est pas encore un séisme pour le football français, mais il pourrait bien le devenir dans les années à venir. En attendant d'atteindre les sommets en France comme en Europe, le club parisien espère déjà revenir en Ligue 1 à la fin de la saison actuelle, alors qu'il occupe actuellement la première place de la Ligue 2 après neuf journées disputées. Maxime Lopez n'est pas étranger au bon début de saison des Parisiens. Débarqué dans la capitale à la surprise générale cet été en provenance d'Italie, l'ancien joueur de l'OM apprécie la L2, un championnat qu'il trouve « physiquement costaud, mais techniquement aussi », avec « des équipes qui attaquent, prennent des risques. On ne s'ennuie pas. »
« De très belles choses qui arrivent »
Présent en conférence de presse ce jeudi, le natif de Marseille en a profité pour évoquer les nouveaux propriétaires prestigieux du club et les conséquences sur l'effectif parisien. « J'avais un peu cette crainte d'une pression négative. Mais au final, je pense que cela a été positif pour à tout le monde. Je pense au contraire que cela doit stimuler tout le monde, donner encore plus envie de faire une grande saison parce qu'il y a des très belles choses qui arrivent pour ce club, a-t-il reconnu. À nous les joueurs de faire ce qu'il faut pour arriver le plus vite possible là-haut. »
Cela passe par un bon résultat face à Grenoble (ce samedi lors de la 10ème journée de L2 à 14 heures, ndlr) surprenant troisième de L2 après neuf journées et qui pointe à cinq points du Paris FC. « C'est un adversaire direct, ils viennent de battre Metz. C'est une belle équipe qui joue bien, qui a son plan de jeu et qui le respecte. Mais on est là pour gagner tous les matches. » Encore plus depuis l'arrivée de la famille Arnault, qui a donc mis une certaine forme de pression sur l'effectif du deuxième club parisien.