Papin, Cissé et Rami sur M6

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Paul Rouget, Media365 : publié le mardi 28 novembre 2023 à 16h21

Anciens joueurs de l'équipe de France et de l'Olympique de Marseille, Jean-Pierre Papin, Djibril Cissé et Adil Rami participeront, en tant que candidats, à la quatrième saison de l'émission « Qui veut être mon associé ? » sur M6.

Lancée en 2020 sur M6, l'émission « Qui veut être mon associé ? », inspirée d'un concept lancé au Japon au début du siècle et qui a été adaptée dans plusieurs pays, va faire la part belle aux sportifs pour sa quatrième édition. Le principe est relativement simple : des candidats viennent présenter leur projet devant un jury de cinq investisseurs, en leur demandant un apport financier en échange d'un pourcentage de leur société. Outre le basketteur international français Vincent Poirier, qui évolue au Real Madrid, trois autres sportifs vont candidater cette saison : Jean-Pierre Papin, Djibril Cissé et Adil Rami. Trois footballeurs dont deux anciens, Rami, aujourd'hui sans club, n'ayant pas encore officiellement annoncé sa retraite sportive, qui ont comme point commun d'avoir joué en équipe de France et à l'Olympique de Marseille.

Un concept loin du foot pour Rami

Papin, aujourd'hui conseiller du président phocéen Pablo Longoria, présentera une application dédiée aux footballeurs amateurs, alors que Cissé, qui veut devenir entraîneur et s'occupe, en tant qu'intervenant, des attaquants de l'AJ Auxerre, va dévoiler un concept de ballon recyclé et recyclable. Celui de Rami n'a rien à voir avec le football (quoique...), puisque le fantasque champion du monde 2018, désormais aux « Grosses Têtes », sur RTL, et consultant pour Prime Video, va lui présenter un concept de... coiffeur-barbier. Ce qui correspond finalement assez bien à celui qui a toujours été très « looké »... Nouveau membre du jury, Tony Parker a détaillé pourquoi les entrepreneurs raffolaient tant des sportifs. "Ils adorent les athlètes parce qu'ils voient en nous une capacité à engranger les heures de travail quand on est passionné. Cette discipline qu'il faut pour réussir au haut niveau, on la développe aussi dans le monde des affaires quand on veut réussir. Après, le nom du sportif aide juste à rentrer en contact au début, à être écouté. Mais ensuite, l'entrepreneur est dur, il s'en fout de ton passé sportif. Si tu commences à parler chinois niveau business, il va te dégager en deux secondes", a ainsi confié le président de l'ASVEL en conférence de presse, rapporte L'Equipe.

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