Thomas Siniecki, Media365 : publié le mardi 27 décembre 2022 à 17h50
Le gardien de l'équipe d'Argentine, un peu plus d'une semaine après avoir été le héros de la finale de la Coupe du Monde face à la France, a décidé de passer par la case tatouage en se faisant apposer le trophée sur sa jambe bénie.
Emiliano Martinez dans son but, Emiliano Martinez dans le vestiaire, Emiliano Martinez sur un bus... Et désormais, voilà Emiliano Martinez chez le tatoueur. Continuons de suivre les aventures diverses et variées du gardien champion du monde de l'Argentine, qui a décidé d'avoir le trophée de la Coupe du Monde jusque dans la peau, et pas à n'importe quel endroit : sur le mollet gauche, celui qui lui a permis de contrer le fameux tir de Randal Kolo Muani en toute fin de prolongation lors de la finale contre l'équipe de France, enlevée ensuite aux tirs au but par l'Albiceleste (3-3 a.p., tab : 4-2).
"Que la passion te mène à la gloire"
L'ancien Nantais aurait pu devenir un héros national, un peu à la manière d'André-Pierre Gignac trouvant le poteau dans les derniers instants du temps réglementaire de la finale de l'Euro 2016 contre le Portugal... Au lieu de quoi, c'est donc le gardien d'Aston Villa - dont son nouvel entraîneur Unai Emery aimerait se séparer - qui a incarné le triomphe argentin, ce qui l'a un peu dépassé comme on le sait depuis un peu plus d'une semaine, avec des incartades successives majoritairement ciblées contre Kylian Mbappé (qui venait pourtant de lui mettre quatre buts, avec trois penaltys dont un tir au but).
Sous son tatouage est également apposé le message "Que la passion te mène à la gloire", ainsi que les trois étoiles correspondant aux trois couronnes mondiales de l'Argentine avec les années victorieuses (1978, 1986 et donc 2022). Selon TyC Sports, les numéros 6, 8, 12 et 18 correspondent à ceux de ses coéquipiers German Pezzella, Marcos Acuna, Geronimo Rulli et Guido Rodriguez, tous liés par la même promesse. De nombreux fins observateurs sur les réseaux sociaux ont enfin remarqué qu'Emiliano Martinez, sur son pied droit, n'avait que... quatre orteils.