Nouvelle-Zélande : La femme et une fille de Foster agressées en France

Nouvelle-Zélande : La femme et une fille de Foster agressées en France©Panoramic, Media365
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Guillaume Marion, Media365 : publié le mardi 07 novembre 2023 à 17h55

Suite aux révélations de la presse néo-zélandaise, Ian Foster a récemment confirmé que sa femme et une de ses filles avaient été agressées en France lors de la Coupe du monde 2023.

La Coupe du monde 2023 a failli très, très mal commencer pour la Nouvelle-Zélande. En effet, quelques jours avant le match d'ouverture entre le XV de France et les All Blacks (27-13), Leigh et Michaela Foster, respectivement la femme et l'une des filles de Ian Foster, ont été agressées à l'arme blanche par un individu. Comme révélée par la presse néo-zélandaise, cette mésaventure s'est passée à Créteil non loin de l'hôtel où étaient logés ceux qui ont finalement été battus en finale par l'Afrique du Sud (11-12). « En ce qui concerne les informations récentes, je peux confirmer qu'il y a eu un incident impliquant ma femme et une de mes filles à Paris pendant la semaine d'ouverture de la Coupe du monde de rugby », a récemment expliqué le désormais ancien sélectionneur des All Blacks, qui a aussi déclaré que ces dernières avaient été « secouées par l'expérience ».

« Ma famille a réussi à désamorcer la situation »

« Leigh et Michaela se rendaient à pied à l'hôtel de notre équipe depuis une gare voisine en début de soirée lorsqu'elles ont été confrontées à un jeune homme armé d'un couteau. L'homme semblait être sous l'influence de quelque chose. Ma famille a réussi à désamorcer la situation calmement mais fermement et l'homme est parti, a également reconnu Foster, lors d'un communiqué. L'équipe de sécurité, qui comprenait des autorités locales, en a été informée au retour de Leigh et Michaela. En tant que famille, nous tenons à réitérer que cela n'a en rien enlevé notre séjour en France qui a été globalement positif. » Finalement, la femme et l'une des fille de Foster se sont plutôt bien tirées de cette situation, dans laquelle il y a eu plus de peur que de mal. Par ailleurs, la presse néo-zélandaise n'a pas précisé si elles avaient porté plainte suite à cette agression datant de début septembre.

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