Thomas Siniecki, Media365 : publié le lundi 09 décembre 2024 à 16h06
Au sein de la confrérie des techniciens, l'enthousiasme au sujet du patron du PSG ne se dément jamais.
A la veille de recevoir le Paris Saint-Germain, le coach de Salzbourg a fait part de son admiration pour Luis Enrique, qui bénéficie toujours de son aura d'entraîneur champion d'Europe avec le Barça en 2015 : "J'ai vraiment du respect quand quelqu'un a une identité claire, pas juste en termes d'équipe et de façon de jouer, mais aussi dans la manière de s'entraîner. C'est toujours un plaisir de regarder ses équipes et il faudra être très courageux contre Paris." Les Autrichiens aussi joueront mardi soir leur avenir en Ligue des champions, mais avec finalement beaucoup moins de pression que leur adversaire.
Le Real et l'Atlético au programme pour finir
Même s'il a gagné quatorze des 17 dernières couronnes nationales, le club estampillé Red Bull n'a pas le même statut que le PSG au niveau européen. Et s'il lui reste encore un mince espoir de qualification, son bilan de trois points en cinq matchs l'oblige à gagner deux de ses trois dernières rencontres pour espérer un barrage, sans certitude. Avec les deux clubs de Madrid pour boucler son programme, dont un déplacement chez le Real pour l'avant-dernière journée du 22 janvier...
L'ex-adjoint de Jürgen Klopp à Liverpool, assurément pas un hasard lorsqu'on sait que le technicien allemand est devenu le n°1 du projet global Red Bull dans le football mondial, sait bien qu'il n'y a plus d'avenir européen pour son équipe cette saison, elle qui a notamment raté le coche en étant surclassée par Brest pour son premier match à domicile (0-4). Ce week-end, il se montrait heureux de l'énergie montrée durant 95 minutes pour accrocher un nul intense face au Rapid Vienne (2-2), troisième alors que Salzbourg n'est que cinquième - loin derrière le Sturm Graz, champion en titre et qui compte déjà treize points d'avance (et un match de plus) sur l'adversaire du PSG.