ATP - Masters 1000 d'Indian Wells : Alcaraz n'a pas perdu de temps contre Auger-Aliassime

Mathieu Warnier, Media365, publié le dimanche 10 mars 2024 à 22h40

Grâce à un succès en deux manches sur Félix Auger-Aliassime, Carlos Alcaraz a rejoint les huitièmes de finale du Masters 1000 d'Indian Wells.

Cette fois, Carlos Alcaraz n'a pas fait de vieux os sur le court. Poussé en trois manches par Matteo Arnaldi pour son entrée en lice dans le Masters 1000 d'Indian Wells, le numéro 2 mondial a été bien plus rapide lors de son duel face à Félix Auger-Aliassime. Le natif de Montréal a tout d'abord tenu tête à l'Espagnol, remportant sans difficulté ses deux premiers jeux de service mais sans parvenir à mettre en difficulté son adversaire. C'est à ce moment que Carlos Alcaraz a commencé à hausser le ton. Après avoir remporté blanc son service, la tête de série numéro 2 du tournoi a su être efficace sur sa première balle de break. Un avantage confirmé dans la foulée, ce qui a permis à l'Espagnol de mener quatre jeux à deux. Il ne s'est toutefois pas arrêté en si bon chemin car un deuxième break lui a permis ce corser l'addition.

Alcaraz était pressé

Au moment de servir pour mettre fin à la première manche, Carlos Alcaraz a dû sauver une balle de débreak avant de convertir sa première balle de set. Pour Félix Auger-Aliassime, les difficultés se sont prolongées dès l'entame de la deuxième manche. En effet, le 31eme mondial a concédé son service à l'issue du premier jeu face à un adversaire chirurgical en la matière. Un efficacité qui s'est toutefois émoussée quand, dans le cinquième jeu, Carlos Alcaraz a manqué deux opportunités de double break qui auraient accéléré la manœuvre. N'étant absolument pas mis en difficulté sur son engagement, le numéro 2 mondial aurait pu attendre de servir pour conclure cette rencontre mais il a su s'épargner un jeu. La première balle de match obtenue sur le service de « FAA » a été la bonne pour le natif de Murcie (6-2, 6-3 en 1h18'). Pour une place en quarts de finale, Carlos Alcaraz devra affronter le Hongrois Fabian Maroszan, qui a étrillé le Brésilien Thiago Seyboth Wild (6-2, 6-2 en 1h08').

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