PSG : Les «milliers de souvenirs » de Luis Enrique envers sa fille Xana, décédée à l'âge de 9 ans

PSG : Les «milliers de souvenirs » de Luis Enrique envers sa fille Xana, décédée à l'âge de 9 ans ©Icon Sport, Media365
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Axel Allag, Media365, publié le mardi 15 octobre 2024 à 13h04

Lors du dernier épisode de la mini-série documentaire de Movistar Plus+, Luis Enrique est revenu sur sa vie de famille et plus spécifiquement son rapport à sa fille Xana, décédée à l'âge de 9 ans des suites d'un cancer des os.

Luis Enrique a montré une autre facette de sa personnalité, forcément plus émouvante, à l'occasion de l'ultime épisode de la mini-série documentaire 'No tenéis ni p... idea' ('Vous n'en avez aucune put... d'idée') diffusée sur Movistar Plus+ à son sujet. Si il a évoqué son besoin maladif de contrôle sur ses joueurs," si un joueur va où il veut, ça implique qu'il y a des situations de jeu que je ne contrôle pas. L'année qui vient, je veux toutes les contrôler. Toutes sans exception", il a aussi évoqué sa fille Xana, décédée en août 2019 d'un cancer des os.

"Xana est venue vivre avec nous pendant neuf merveilleuses années"

"Est-ce que je me considère comme chanceux ou malchanceux? Je me considère comme chanceux, très chanceux", a clamé un Luis Enrique désireux de garder en mémoire les nombreux moments positifs avec sa fille. "Xana est venue vivre avec nous pendant neuf merveilleuses années. Nous avons des milliers de souvenirs d'elle. Des vidéos, des choses... incroyables", a continué l'entraîneur du PSG. Ce dernier, s'est d'ailleurs étonné qu'aucune photo de Xana ne soit présente au domicile de ses parents et sa mère s'est affirmée incapable de le faire.

Un Luis Enrique actif toutes les 30 minutes

"Maman, tu dois mettre Xana. Xana est vivante. Sur le plan physique, elle ne l'est pas, mais sur le plan spirituel, elle l'est. Nous parlons d'elle tous les jours, nous rions et nous nous souvenons. Je pense que Xana nous voit encore", a alors lancé l'Asturien à sa mère.

Dans cette dernière partie du documentaire, on découvre par ailleurs que le natif de Gijon s'astreint à des mouvements routiniers en bougeant toutes les 30 minutes, quitte à interrompre une réunion avec son staff technique. "Pardon, pardon, une demi-heure", affirme-t-il à son staff avant de réaliser des pompes et des squats, notamment. "Toutes les 30 minutes il faut bouger, tous les groupes musculaires", justifie Luis Enrique, la star du documentaire de Movistar Plus+.

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