Thomas Siniecki, Media365 : publié le mardi 10 décembre 2024 à 15h27
Retrouvez les chiffres marquants avant le troisième match de Brest au Roudourou en C1, mardi face au PSV.
- Brest essuie une mauvaise passe avec quatre défaites en cinq matchs toutes compétitions confondues depuis un mois, à Montpellier (3-1), à Monaco (3-2), à Barcelone (3-0) et ce week-end à Lille (3-1). Un dénominateur commun : elles ont toutes été concédées à l'extérieur et en encaissant trois buts, dont le premier à chaque fois dès les dix premières minutes.
- A l'inverse, le PSV reste sur deux victoires de rang en C1, contre Gérone (4-0) et le Shakhtar (3-2), de quoi rattraper un mauvais début de compétition (deux nuls, dont un à Paris, et une défaite). Un troisième succès d'affilée et le club d'Eindhoven égalerait la meilleure série de son histoire dans la compétition, datant de 2006 (Bordeaux puis le Galatasaray deux fois).
Onze victoires, 17 nuls et onze défaites
- Les hommes de Peter Bosz, connaissance encore assez fraîche de la Ligue 1 puisqu'il avait entraîné l'Olympique Lyonnais lors de la saison 2021-2022, ont inscrit pas moins de 70 buts en 21 matchs cette saison (3,3 de moyenne par match) et même 26 sur leurs six dernières sorties (4,3 de moyenne), toutes achevées sur une victoire. Ismael Saibari est lui impliqué sur sept buts lors des deux derniers matchs, avec quatre buts et trois passes.
- Le bilan historique du PSV contre un club français est parfaitement équilibré : onze victoires, 17 nuls et onze défaites. Ce n'est pas cette saison que la balance a penché d'un côté ou d'un autre, pourtant l'occasion s'est présentée au Parc, mais le Paris Saint-Germain a concédé le nul face au champion des Pays-Bas (1-1).
- Brest aime marquer en fin de première période et/ou en début de seconde. Dans les cinq derniers matchs où les Bretons ont trouvé la faille, ils ont à chaque fois fait trembler les filets entre la 35e et la 50e minute, à quatre reprises en Ligue 1 mais aussi en Ligue des champions à l'occasion de leur dernière victoire sur la pelouse du Sparta Prague (1-2).