Axel Allag, Media365, publié le jeudi 09 janvier 2025 à 23h08
Ce jeudi, au lendemain de la décision du Conseil supérieur des sports espagnol, la Liga a confirmé la réinscription de Dani Olmo et Pau Victor au sein du FC Barcelone. Ils seront donc en mesure de jouer dès dimanche, à l'occasion de la finale de la Supercoupe d'Espagne face au Real Madrid, en Arabie saoudite.
Le FC Barcelone peut enfin souffler dans le feuilleton des cas de Dani Olmo et Pau Victor. Faute de pouvoir apporter les garanties financières suffisantes, le club catalan s'était vu refuser l'inscription de ses deux joueurs pour la seconde partie de saison. Estimant que la décision de la Liga et de la Fédération espagnole de football était injuste, le Barça, via son président Joan Laporta, avait saisi le CSD, organe du ministère des Sports espagnol, qui demeure indépendant. Mercredi, c'est donc le Conseil supérieur des sports espagnol qui avait autorisé les deux joueurs à rejouer et cela en suspendant l'annulation de leurs licences et en maintenant également la validité de celles-ci jusqu'à l'issue du litige.
Le Barça se félicite des "bonnes nouvelles"
Ce jeudi, la Liga a elle confirmé la réinscription des deux joueurs, comme cela est visible sur le site officiel du championnat d'Espagne avec la date du 9 janvier mise en avant concernant l'éligibilité de Dani Olmo et Pau Victor. "Bonnes nouvelles pour le FC Barcelone. Dani Olmo et Pau Víctor sont désormais inscrits auprès de la Liga et pourront disputer la finale de la Supercoupe d'Espagne si Hansi Flick fait appel à eux. Ce mercredi 8 janvier, le Conseil Supérieur des Sports a accordé une mesure préventive permettant à Dani Olmo et à Pau Victor de jouer. Ce jeudi 9 janvier, ils ont été inscrits auprès de la Liga", s'est félicité le FC Barcelone dans un court communiqué officiel.
Ils sont ainsi en mesure de jouer dès dimanche face au Real Madrid, mais les problèmes ne sont sans doute pas terminés pour le Barça alors que de nombreux clubs, comme Las Palmas ou encore Malaga, se sont plaints d'une décision jugée injuste. "Nous sommes le 8 janvier et nous vivons quelque chose d'hallucinant... Il y a des situations qui sont grotesques", a notamment déploré le président de l'Athletic Bilbao.