Ligue 1 : L'essentiel à retenir de la 28e journée

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Paul Rouget, Media365 : publié le lundi 08 avril 2024 à 08h51

Découvrez les principaux enseignements d'une 28e journée marquée par la nouvelle défaite de l'OM, alors que Brest est toujours solide dauphin du PSG devant Monaco.

Le top : Brest en costaud

Comme une semaine plus tôt à Lorient, où ils s'étaient encore imposés en toute fin de match (1-0), les Brestois ont quelque peu tremblé dimanche face à Metz, un autre mal classé. Rapidement menés au score, les hommes d'Eric Roy sont vite revenus à hauteur, avant de prendre le large avant le repos (3-1). Ils ont même été menés 4-1 à l'heure de jeu avant de voir les Lorrains marquer à deux reprises dans le dernier quart d'heure. Mais les Bretons, toujours solides dauphins, ont tenu bon, s'imposant 4-3 pour revenir à dix longueurs des Parisiens, tenus en échec par Clermont (1-1).

Le flop : Rien ne va plus à l'OM

Alors que les Phocéens avaient signé cinq victoires consécutives toutes compétitions confondues lors de l'arrivée sur le banc de Jean-Louis Gasset en remplacement de Gennaro Gattuso, ils n'arrivent plus à gagner depuis. Vendredi soir à Lille (1-3), ils ont enchaîné un quatrième revers de rang après celui, sans conséquence, contre Villarreal en huitièmes de finale de la Ligue Europa (1-3), puis à Rennes (0-2) et contre le PSG (0-2). Les rêves d'Europe s'éloignent donc un peu, même si la 7e place, qui pourrait être qualificative pour la Ligue Conférence, n'est qu'à un point.

Le meilleur joueur : Radoslaw Majecki

Adi Hütter ne doit pas regretter son choix. Alors qu'il a décidé de faire de Radoslaw Majecki son numéro 1 au détriment de Philipp Köhn depuis maintenant six matchs, le portier polonais lui a rendu sa confiance avec une prestation majuscule dimanche, lors de la courte victoire de Monaco contre Rennes (1-0). Il a réalisé de nombreux arrêts déterminants, sept au total, dont une double parade de grande classe en première période face à Gouiri puis Bourigeaud. L'ASM, toujours troisième, peut le remercier.

Les chiffres clés

10

Comme le nombre de victoires de Pierre Sage depuis son arrivée sur le banc de l'Olympique Lyonnais, vainqueur renversant à Nantes dimanche soir (3-1). Le Jurassien égale Bruno Genesio, qui avait lui aussi eu besoin de seulement 16 matchs pour atteindre ce total de victoires en 2016.

300

Kevin Gameiro a disputé, dimanche lors du déplacement de Strasbourg à Toulouse, son 300e match en Ligue 1. Mais l'attaquant de 36 ans, sorti à la 67e minute, n'a pu inscrire son 101e but dans l'élite à l'occasion de ce match nul et vierge (0-0).

435

Remplaçant de Milian Skriniar samedi soir peu après l'heure de jeu lors du match nul du PSG contre Clermont (1-1), Marquinhos a disputé son 435e match avec le club parisien. Arrivé en 2013, le défenseur brésilien égale le record de Jean-Marc Pilorget et devient donc le codétenteur du plus grand nombre de matchs disputés sous le maillot rouge et bleu.

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