Simon Persitz, Media365, publié le dimanche 10 mars 2024 à 23h37
Le manager des Reds estime qu'un penalty aurait du être sifflé pour son équipe dans le temps additionnel...
Un immense sentiment de frustration. Tenu en échec (1-1) lors du choc du week-end face au champion d'Angleterre en titre Manchester City, Liverpool a manqué l'occasion de récupérer la première place de la Premier League désormais occupée par Arsenal suite à sa victoire 2-1 face à Brentford. À 10 journées de la fin du championnat, les Gunners devancent les Reds à la différence de buts tandis que Manchester City se situe à un point derrière. De quoi laisser augurer d'une fin de championnat passionnante dans la course pour le titre très convoité de champion d'Angleterre.
Un geste de Doku au cœur de la polémique
Alors qu'il vit sa dernière saison sur le banc des Reds, le manager allemand Jurgen Klopp n'a visiblement pas du tout digéré une action qui fait polémique outre-Manche. Dans le temps additionnel de la rencontre face aux Citizens, l'international belge de Manchester City Jeremy Doku semble se rendre coupable d'une semelle sur le torse d'Alexis Mac Allister dans la surface de réparation de Manchester City. L'arbitre n'a toutefois pas indiqué le point de penalty et la VAR, qui a revu les images, ne l'a pas non plus sollicité afin de potentiellement modifier sa décision.
Pour Klopp, aucun doute, il y avait penalty
Une action litigieuse qui a visiblement irrité au plus haut point le technicien qui en veut particulièrement à l'arbitrage sur cette action : "C'était un penalty à 100%. Ils trouveront une explication. C'était une faute à 100% dans toutes les zones du terrain et probablement un carton jaune. Tous les gens autour de moi avec des ipads disaient : 'Wow, c'est clair'. Peut-être qu'ils peuvent se cacher derrière l'expression 'ce n'est pas clair et évident'. Il s'agit bien sûr d'un penalty, mais nous ne l'avons pas obtenu et c'est très bien ainsi. Le plus important pour moi est que nous puissions jouer au football de cette manière" a-t-il déclaré au micro de la BBC.