Montpellier - Gasset : «On n'est pas condamnés»

Montpellier - Gasset : «On n'est pas condamnés» ©Icon Sport, Media365
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Axel Allag, Media365, publié le lundi 04 novembre 2024 à 09h00

Défait au Havre (1-0) et plus que jamais lanterne rouge de Ligue 1, Montpellier a encore des chances de s'éviter une relégation d'après un Jean-Louis Gasset optimiste.

Rien ne va à Montpellier et même Jean-Louis Gasset ne parvient pas à inverser la tendance. Ses deux premiers matchs pour son retour sur le banc de son club se sont soldés par le même résultat : une défaite. D'abord face à Toulouse à la Mosson (0-3) puis dimanche sur la pelouse du Havre (1-0). Lanterne rouge de Ligue 1 avec 4 points - à 6 unités de Verts barragistes - le MHSC va mal, c'est certain, mais malgré le nouveau revers concédé par ses troupes, le technicien veut toujours croire à un avenir en Ligue 1 au terme de cet exercice 2024-2025.

Une mission "très difficile" mais possible

"On n'a pas subi comme on a subi devant Toulouse, où tous les contres étaient meurtriers et où le match était plié en trente minutes. Le Havre était dans le même état que nous. On sentait qu'on les faisait douter à chaque fois que l'on contrait, que l'on faisait passer un petit frisson. Il aurait fallu faire plus mal que ça sur les contres", a concédé l'ancien entraîneur de l'OM, qui, au contraire de la semaine dernière, a cette fois vu "une équipe sereine" qui a tout donné sur le plan physique et respectée le plan de jeu dans l'état d'esprit.

Battu sur un "détail", à savoir le penalty consécutif à la main de Falaye Sacko après une tête d'André Ayew, Montpellier devra tenter de rebondir face à Brest dimanche sans un Téji Savanier encore suspendu et de nombreux blessés. Mais Jean-Louis Gasset entend bien ne rien lâcher dans sa mission sauvetage. "Il ne faut pas se laisser abattre, même si le classement va être dur à regarder, car il y a maintenant l'écart. On n'est pas condamnés. Il y a dix jours, la mission était difficile, je le savais, tout allait mal, je le sentais. Là, elle est très difficile, mais elle est possible", a-t-il résumé.

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