Ligue 1 : Les enjeux de la 31e journée

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Thomas Siniecki, Media365 : publié le vendredi 26 avril 2024 à 16h06

Retrouvez les enjeux de la 31e journée de Ligue 1, de Montpellier - Nantes vendredi à OM - Lens dimanche soir.

Le PSG n'a plus qu'à finir le travail

Après Montpellier - Nantes en choc pour le maintien (surtout pour les Canaris) vendredi à 21h en ouverture de la journée, on passera directement à samedi 21h pour un nouveau match des extrêmes entre le Paris Saint-Germain et Le Havre. A quatre jours du déplacement à Dortmund en Ligue des champions, les Parisiens seront officiellement champions de France s'ils battent le HAC au Parc, ce qui augure d'une fête qu'il faudra tout de même maîtriser avec cette demi-finale de C1 quasiment dans la foulée. Même en cas de nul, le titre serait aussi entériné, car le PSG compterait douze points et surtout 29 buts d'avance sur Monaco.

Brest a tout à perdre

Metz - Lille reprend le créneau du dimanche à 13h, avec des objectifs bien distincts pour les Lorrains et les Nordistes entre le maintien et la course à la Ligue des champions. Le multiplex de 15h suivra avec Clermont - Reims, Lorient - Toulouse et Strasbourg - Nice, trois confrontations entre des équipes concernées (Clermont et Lorient pour le maintien, Nice pour l'Europe) et d'autres a priori plus détendues. A 17h05, le derby breton entre Rennes et Brest est celui de tous les dangers pour les Brestois, qui pourraient laisser échapper sur le fil leur place au sein du top 4 qualificatif pour la prochaine Ligue des champions.

Monaco encore impérial à Lyon ?

OL - Monaco peut entériner les ambitions des Monégasques, en mission vers la deuxième place ces dernières semaines avec quatre victoires d'affilée et six succès sur les huit derniers matchs. Ce match est exceptionnellement déplacé au dimanche à 19h, remplaçant l'habituel créneau du samedi à 17h. En conclusion à 21h (et non 20h45, pour ne pas superposer avec le match de 19h), Marseille - Lens est toujours un grand classique du championnat. La dernière occasion, pour les Phocéens comme pour les Artésiens, mais surtout pour ces derniers, de s'accrocher à un espoir européen.

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