Axel Allag, Media365, publié le lundi 19 février 2024 à 15h05
Retraité depuis octobre dernier, Eden Hazard a une nouvelle fois abordé son hygiène de vie, dans le podcast Obi One de son ancien coéquipier à Chelsea, John Obi Mikel.
Eden Hazard n'a pas caché certaines vérités concernant son hygiène de vie et ses habitudes extra-sportives de son temps de footballeur. Après avoir indiqué à nos confrères de France Football qu'il aurait réalisé "un burn-out" si il avait été aussi acharné que Cristiano Ronaldo, l'ancien élément du Real Madrid en a remis une couche, mais cette fois dans le podcast de son ancien coéquipier à Chelsea, John Obi Mikel. "Chaque été, je prenais quatre ou cinq kilos parce que je me disais qu'on se donnait tellement pendant dix mois, qu'on mettait son corps au plus haut niveau et que les gens nous donnaient des coups de pied, alors le temps de repos est le temps de repos. Il ne faut pas me demander de faire quoi que ce soit. J'aime être avec ma famille, aller à la plage, alors ne me demandez pas de courir pendant ces trois ou quatre semaines. Je peux jouer au football sur la plage avec mes enfants, sans problème, mais ne me demandez pas de courir", a affirmé Hazard.
"Mon pays a les meilleures bières du monde"
Arrivé en surpoids lors de son transfert au Real Madrid, lors de l'été 2019, Hazard aura traversé ses années à Madrid comme un fantôme, miné par les blessures et le manque de confiance. Jamais dans le bon tempo, il a donc terminé par rompre son contrat et a raccroché les crampons, à 32 ans, en octobre dernier. L'essentiel étant, hors des terrains, ailleurs. "En tant que Belge, nous aimons les bières parce que mon pays a les meilleures bières du monde, donc je ne vous dis pas que je buvais tous les jours parce que ce n'est pas vrai, mais parfois, après un bon match, une ou deux bières, c'est bien", a synthétisé l'ancien élément du LOSC, élu meilleur joueur de Ligue 1 en 2011 et 2012, et champion de France avec les Dogues. Peu emballé par l'exposition du monde du football, il avait également assuré à France Football qu'il ne se voyait pas dans ce secteur pour le futur. "Le foot pro, j'ai aimé, mais je ne veux pas y retourner. Sûr à 100 %".