Paris 2024 : Retour sur le passage de la flamme olympique en Polynésie

Thomas Siniecki, Media365 : publié le vendredi 14 juin 2024 à 22h36

Retrouvez les temps forts du passage de la flamme olympique en Polynésie, où Miss France 2019 et surtout Michel Bourez ont été les héros de cette journée très particulière pour le Grand Relais.

En parallèle de l'arrivée en Guadeloupe prévue pour samedi, au sein du bateau Banque populaire d'Armel Le Cléac'h (avec notamment Marie-José Pérec à son bord) parti de Brest la semaine dernière, la flamme olympique était jeudi en Polynésie au lendemain de sa traversée de la Réunion, dans l'optique donc de poursuivre le parcours global dans les territoires ultra-marins. Décalage horaire oblige, l'arrivée finale à Papeete a eu lieu, en heure métropolitaine, vendredi matin.

Bourez : "La flamme a toujours été là"

La journée a bien sûr été placée sous le signe de l'eau, particulièrement à Teahupoo d'où la torche s'est élancée et où auront lieu les épreuves de surf dans un peu plus d'un mois, un lieu qui permettra à Paris 2024 de continuer même la nuit (avec le décalage, les épreuves se dérouleront de 19h à 4h50 du matin, soit de 8h à 17h50 en heure locale).


Vaimalama Chaves, Miss France 2019, était une des étoiles du cortège, ainsi que le surfeur Michel Bourez qui a embrasé le chaudron final (propos recueillis par France TV) : "Je me sentais fort, je sentais le mana de tout le monde (...) La flamme a toujours été là, désormais le feu est là. C'est historique, on n'en a jamais rêvé et c'est arrivé. C'était la première fois, et j'espère pas la dernière. C'est extraordinaire, je suis content qu'il n'y ait pas eu trop de lumière, comme ça je ne voyais pas trop de monde (sourire). C'est un moment unique, du partage avec toute la famille, c'est inoubliable et la boucle est bouclée." Pour le néo-retraité, c'était aussi "un moment pour dire au revoir au surf professionnel, mais il y a toujours une page qui s'ouvre après". Conscient que beaucoup d'autres auraient pu être à sa place, il sait aussi que c'est le surf qui lui a permis d'être là. Rien de plus normal, donc.

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