Faraj Benlahoucine, Media365 : publié le vendredi 06 janvier 2023 à 16h39
Qui sera le futur sélectionneur de la Belgique ? Thierry Henry, ancien adjoint de Roberto Martinez, part avec une longueur d'avance et aurait formulé officieusement à la fédération son désir de prendre en main les Diables Rouges.
Alors Thierry Henry deviendra-t-il incessamment sous peu le futur sélectionneur de la Belgique ? Depuis plusieurs semaines les rumeurs vont bon train. Tandis que certains joueurs dont les cadres Toby Alderweireld ou encore Romelu Lukaku ont milité en faveur de sa nomination, le principal intéressé a préféré balayer le sujet d'un revers de main. Tout en prenant le soin néanmoins de ne pas confirmer la tendance, ni de l'infirmer. Cependant, ce vendredi plusieurs médias belges dont Sudinfo, Le Soir ou encore Het Laatste Nieuws, affirment que l'ancien international français aurait formulé à la fédération belge son désir de prendre les rênes de la sélection.
L'ensemble de ces sources avancent toutefois que l'adjoint de Roberto Martinez chez les Diables Rouges n'a pas postulé de manière officielle. Difficile par conséquent de répondre immédiatement à la question si le champion du monde 98 sera intronisé à la tête de la Belgique. Mais force est de constater que Thierry Henry jouit d'une cote de popularité immense au plat pays. Ses deux expériences entre 2016 et 2018, puis de 2021 à la Coupe du monde 2022 au Qatar, lui ont clairement ouvert une voie royale, le propulsant en pole position pour prendre la succession de son désormais ex-supérieur. Le nom de Thomas Vermaelen, ancien défenseur et capitaine des Diables Rouges et adjoint de Roberto Martinez également, a aussi circulé comme potentiel candidat pour reprendre le poste. Mais avec beaucoup moins de redondance.
Celui-ci, consultant actuellement pour Amazon Prime Video, ne dispose pas d'une grande expérience en qualité de patron sur un banc. De passage à Monaco, son club formateur, l'ancien attaquant n'avait pas tenu plus de trois mois et quelques jours. Ses joueurs lui reprochaient principalement ses méthodes de travail et sa communication trop rudes. Par la suite du côté de Montréal, il a écourté son mandat à cause du Covid-19 et de son éloignement avec ses proches.