Paul Rouget, Media365 : publié le mercredi 21 août 2024 à 14h51
Triple médaillée d'or lors des Jeux Olympiques de Paris, la gymnaste américaine Simone Biles assure qu'on lui a demandé de payer 26 000 dollars pour une bouteille de champagne dans une boîte de nuit de la capitale.
Simone Biles ne gardera pas que des bons souvenirs de Paris. Si, sportivement, la gymnaste américaine a parfaitement rebondi après son cauchemar de Tokyo, en décrochant trois nouvelles médailles d'or et une d'argent lors de ces Jeux Olympiques parisiens, elle a tout de même connu quelques (rares) contrariétés en dehors de Bercy. Notamment au moment de célébrer ses succès dans une boîte de nuit de la capitale, où elle assure qu'on a voulu lui facturer une bouteille de champagne pour la modique somme de... 26 000 dollars, soit un peu moins de 23 383 euros !
"C'est de la folie"
"Vous savez, ce club a essayé de me faire payer 26 000 dollars pour une bouteille de champagne. Est-ce que vous êtes fous ? Evidemment, je ne l'ai pas achetée. Mais pourquoi essayer de me la jouer comme ça ? C'est de la folie", a expliqué la septuple championne olympique, et 23 fois championne du monde, dans une vidéo publiée sur le réseau social TikTok. Une nouvelle mésaventure pour celle qui s'était plainte de la qualité des repas servis aux athlètes au sein du village olympique. "Ce n'est pas vraiment de la cuisine française dans le village. Nous, c'est un peu plus sain...", avait-elle lâché après la médaille d'or de l'épreuve par équipes glanée par les États-Unis.
Le « blasphème » du pain au chocolat
Quelques jours plus tôt, Biles avait publié sur son compte TikTok une vidéo d'elle en train de se délecter... de pains au chocolat industriels de la marque Carrefour. "Hum, donnes-en moi en quatorze immédiatement !", pouvait-on entendre dans la bande son. Une séquence qui avait déclenché une vague de critiques de la part de certains Français, ulcérés par ce qu'ils considéraient comme un « blasphème » vis-à-vis de la pâtisserie française. Depuis, elle s'est aussi attirée les foudres des Américains, mais pas pour des raisons culinaires, en allant assister à un match de présaison des Chicago Bears, l'équipe NFL de son mari, avec une veste des Green Bay Packers, ancienne franchise de son conjoint mais surtout grands rivaux des Bears.