Axel Allag, Media365, publié le mercredi 06 mars 2024 à 21h20
Incapable de gagner depuis 5 matchs en Ligue 1, l'OGC Nice doit réagir à l'occasion de la réception de Montpellier, vendredi (21 heures). En conférence de presse, Francesco Farioli a indiqué que le "moment des excuses" était terminé.
L'OGC Nice est à la recherche d'une victoire. 6ème de Ligue 1, le club azuréen ne gagne plus depuis maintenant 5 matchs, et le succès face à Metz le 27 janvier dernier. Conforté à son poste en interne selon nos confrères de L'Equipe, Francesco Farioli doit lui sentir un peu de pression sur ses épaules à 2 jours de la réception de Montpellier en ouverture de la 25ème journée du championnat de France (vendredi, 21 heures). Toujours dans les clous pour remplir son objectif de top 6, le club sera soutenu à l'Allianz Riviera car déjà 20 000 billets ont été achetés, ce que n'a pas manqué de souligner le technicien italien, qui a remercié le public du soutien affiché dans une période délicate.
Farioli : "Le moment des excuses est fini"
"C'est à la fois beau et important. Je leur dis merci car en ce moment on a besoin d'eux", a mis en avant Farioli, qui n'a pas manqué, non plus, de secouer son groupe avant la réception des coéquipiers de Téji Savanier. "Le moment des excuses est fini, c'est le moment de réagir, donner une réponse forte et collective. Les supporters ont répondu présent à Toulouse et vont être encore présents contre Montpellier. Il faut retrouver l'étincelle et reprendre notre chemin. On a dix matchs pour récolter les fruits des nombreux efforts de notre saison", a prévenu l'entraîneur des Aiglons dans des propos relatés par RMC. Youssouf Ndayishimiye, également présent en conférence de presse, a souligné l'état d'esprit positif malgré la crise de résultats. "On ne doute pas, ça arrive dans le foot ce genre de choses. On a fait six très bons premiers mois et on a des difficultés depuis quelques semaines. On a encore notre destin en main et tout le monde est derrière nous. On ne panique pas", a affirmé le défenseur. Montpellier, barragiste, ressemble en tout cas sur le papier à une opposition idéale pour rebondir.