Axel Allag, Media365, publié le mercredi 31 juillet 2024 à 12h17
Absent des terrains depuis début novembre en raison d'une fracture de la rotule du genou gauche, Valentin Rongier a repris une partie des séances collectives, et un retour pourrait se faire en septembre.
Valentin Rongier aperçoit, au loin, la lumière au bout du tunnel. Depuis le 4 novembre dernier et sa fracture de la rotule du genou gauche survenue suite à un choc avec Rémy Cabella contre le LOSC (0-0), le milieu de terrain est contraint de prendre son mal en patience. Il n'a en effet pas rejoué depuis mais, ces derniers jours, comme relaté par nos confrères de L'Equipe, l'ancien élément du FC Nantes a au moins repris une partie des séances collectives de l'OM, avec une première fois remontant à jeudi dernier. Il est attendu que, progressivement, il puisse participer aux séances avec ses coéquipiers sous la direction du nouvel entraîneur, Roberto De Zerbi. Initialement, sa durée d'indisponibilité avait été estimée à 3 mois mais les prévisions ne se sont pas avérées exactes, et il a donc fallu ronger son frein pour Rongier.
Rongier multiplie les séances avec un physiothérapeute
En mai dernier, le milieu de terrain a repris la course, sans ressentir de douleurs. Toutefois, après avoir vécu un printemps frustrant au cœur de l'épopée de l'OM en Ligue Europa, Rongier a vu les départs de nombreux kinésithérapeutes se dérouler après un audit des dirigeants de l'OM. Alors qu'il a repoussé son retour à de multiples reprises, Rongier travaille, encore et toujours, afin de soigner son retour. Selon L'Equipe, il ne cesse de multiplier les séances avec Youssef Rahou, physiothérapeute du staff du club phocéen. Tandis qu'il n'a pas revu le professeur Bertrand Sonnery-Cottet, spécialiste du genou, depuis novembre, à la grande surprise de son ancien entraîneur Jean-Louis Gasset, Rongier pourrait retrouver les terrains en septembre, mais cela n'est pas certain. Aucune date n'a été annoncée par l'OM, qui n'a probablement pas envie d'engendrer une nouvelle déception dans l'esprit du natif de Mâcon si cela devait finalement être repoussé. En attendant, place au travail, encore.