Marie Mahé, Media365, publié le mercredi 10 novembre 2021 à 21h15
Ce mercredi, à l'occasion des 32emes de finale aller de la Coupe de la CEV de volley masculin, Tours est allé s'imposer aux Pays-Bas, contre Draisma (3-1 (25-22, 25-17, 19-25, 25-16)).
Entrée en matière réussie pour le club de Tours, qui entamait sa treizième campagne européenne consécutive. Ce mercredi soir, à l'occasion des 32emes de finale aller de la Coupe de la CEV de volley masculin, les Tourangeaux sont allés s'imposer aux Pays-Bas, du côté d'Apeldoorn, contre le club de Draisma (1-3 (22-25, 17-25, 25-19, 16-25)). Face aux très jeunes doubles champions des Pays-Bas, les octuples champions de France, actuels leaders invaincus de la Ligue A, avec six victoires en autant de rencontres déjà disputées, ont remporté les deux premiers sets (25-22, 25-17), avant de céder le troisième (19-25). Ce n'était que partie remise et les visiteurs ont fini par avoir le dernier mot, sans avoir véritablement le temps de trembler, malgré une remontée à effectuer (25-16). A l'occasion de cette édition 2021 de la C2, Tours a pu bénéficier d'une invitation, alors que le club s'est adjugé l'édition 2017 de cette même compétition.
Tours aurait dû disputer la C3
A l'origine, les quarts de finaliste du tout dernier championnat de France, qui restaient également sur trois campagnes passées en Ligue des Champions sans parvenir pour autant à sortir des poules, auraient dû disputer la Coupe Challenge, soit la C3, avant d'obtenir cette promotion, en compagnie également de trois autres équipes emblématiques du volley européen, à savoir Kazan, Belchatow ainsi que Modène. Pour finir le travail, Tours devra en passer par un match retour. Une rencontre qui aura lieu le mercredi 17 novembre prochain, du côté de la salle Robert-Grenon. En cas de qualification, les Tourangeaux retrouveront alors d'autres Néerlandais, à savoir ceux de Groningue. Ensuite, si la logique était alors respectée, Tours pourrait retrouver, à l'occasion des huitièmes de finale, les Italiens de Modène, avec un certain Earvin Ngapeth.