Marie Mahé, Media365 : publié le vendredi 10 octobre 2025 à 15h40
Samedi, le Français Arthur Rinderknech disputera les demi-finales du Masters 1000 de Shanghai. Tout comme son cousin, le Monégasque Valentin Vacherot.
Une affaire de famille. Ce samedi matin, les demi-finales du Masters 1000 de Shanghai en Chine, sur dur, concerneront deux cousins, Valentin Vacherot et Arthur Rinderknech. Dans la première, on retrouvera le Monégasque, 204e joueur mondial et issu des qualifications, qui défiera le Serbe Novak Djokovic, 5e joueur mondial et tête de série n°4. Dans la seconde, il y aura d'un côté, le Russe Daniil Medvedev, 18e joueur mondial et tête de série n°16, et de l'autre le Français, 54e joueur mondial. Pour atteindre ce stade de la compétition, le Tricolore a enchaîné trois victoires face à trois membres du top 20 mondial. Ce vendredi, Rinderknech a imité son cousin, en écartant le Canadien Félix Auger-Aliassime, 13e joueur mondial et tête de série n°12.
Rinderknech : "C'est énorme"
A l'issue de cette rencontre, le Français s'est exprimé, dans des propos rapportés par le site internet officiel de l'ATP : "C'est énorme. Tout d'abord, j'ai suivi mon cousin. Il traversait toutes les émotions jeudi et j'essaie de suivre, de lutter et de faire la même chose que lui. Cela a été incroyable depuis le début du tournoi." Avant de poursuivre ensuite : "Toute la famille suit depuis la maison. Nous sommes dans notre petit monde ici. Cela a été incroyable et aujourd'hui j'ai bien joué et je suis content que ce soit en deux sets seulement, donc je ne suis pas trop fatigué pour demain." La veille, son cousin Valentin Vacherot lui avait montré la voie du dernier carré, en disposant du Danois Holger Rune, 11e joueur mondial et tête de série n°10. « J'étais tellement stressé hier (jeudi) pendant tout son match, a également déclaré Rinderknech. Je n'ai pas l'habitude de regarder des joueurs jouer sur le court et je voulais tellement qu'il gagne. J'étais tellement stressé mais je ne voulais rien montrer. Je ne voulais pas le stresser. Aujourd'hui, c'était beaucoup plus calme pour moi sur le court. »














