Guillaume Marion, Media365, publié le mercredi 08 octobre 2025 à 14h10
Mardi, via un message publié sur son compte Instagram, Enzo Couacaud (30 ans) a annoncé qu'il mettait fin à sa carrière de tennisman. « Une page se tourne », a-t-il notamment déclaré.
Le 10 septembre 2025 restera sans doute comme une date importante dans la vie d'Enzo Couacaud. En effet, c'est ce jour-là que le Français (30 ans) a, a priori, disputé son dernier match de tennis en tant que joueur professionnel. Malheureusement contraint à l'abandon face à Hugo Gaston lors du 2e tour du Challenger de Rennes, le natif de Curepipe (Maurice) a depuis décidé de prendre sa retraite sportive, lui qui fut au mieux 151e mondial (en juillet 2023), comme il l'a annoncé ce mardi via un message publié sur son compte Instagram. « Aujourd'hui, c'est avec beaucoup d'émotion que je vous annonce ma retraite sportive. Le tennis m'a tout donné : des joies immenses, des combats inoubliables, des voyages, des rencontres qui resteront à jamais gravées. Mais surtout, il m'a forgé en tant qu'homme », a dans un premier temps expliqué celui qui fut le seul joueur à prendre un set à Novak Djokovic lors de l'Open d'Australie en 2023.
Couacaud : « Je quitte les courts en paix »
« Je quitte les courts en paix, avec la certitude d'avoir toujours donné le meilleur de moi-même, dans la victoire comme dans la défaite. Merci à ma famille, à mes proches, à mon équipe et à tous ceux qui m'ont soutenu dans les moments les plus difficiles comme dans les plus beaux. Votre confiance et votre amour ont été ma plus grande force. À vous, les fans, merci d'avoir cru en moi, d'avoir vibré à mes côtés, d'avoir partagé cette aventure. Une page se tourne, mais le livre est loin d'être terminé, a par la suite déclaré Couacaud. Place à de nouveaux projets, de nouvelles passions, et, qui sait, peut-être d'autres façons de rendre au tennis tout ce qu'il m'a offert. Merci pour tout. » Pour rappel, lors de la dernière édition de Roland-Garros, le Français était devenu le partenaire d'entraînement de Carlos Alcaraz.