Pro D2 (J15) : Oyonnax ajoute Colomiers à son tableau de chasse

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Aurélien CANOT, Media365, publié le vendredi 16 décembre 2022 à 22h55

Toujours intouchable en tête de la Pro D2, Oyonnax a poursuivi son impressionnante série de victoires, ce vendredi lors de la 15eme journée en s'imposant 29-12 sur la pelouse de Colomiers, 7eme du classement.

Il n'y a rien à faire : Oyonnax est lancé sur un train d'enfer et il ne semble pas parti pour en descendre. A chaque journée, l'équipe adverse rêve de faire chuter l'intouchable leader de Pro D2. A chaque journée, le même scénario se répète, avec des Oyomen qui augmentent leur collection de victoires et prennent visiblement un malin plaisir à aligner les succès sans perdre. Vendredi, lors de la 15eme journée, Colomiers, comme les autres, s'était présenté devant son public avec la ferme intention de faire chuter les inarrêtables. Résultat : ces Columérins qui espéraient enchaîner une deuxième victoire pour remonter au classement et combler l'écart avec ses adversaires du jour se sont fait corriger (29-7) chez eux, tandis qu'Oyonnax, toujours aussi irrésistible, a tranquillement ajouté une neuvième victoire de rang à sa série actuelle, avec désormais onze matchs sans connaître la défaite et dix victoires sur les onze dernières sorties de l'ancien pensionnaire de Top bien parti pour retrouver l'élite à l'issue de l'exercice étant donné le tempo actuel (et infernal) des joueurs de l'Ain.

Oyonnax plie le match en une mi-temps

Bourreau de ces Columérins qui continuent d'alterner le pire et le meilleur, l'indiscutable premier du classement compte seize points d'avance sur son dauphin Mont-de-Marsan, actuellement sur un nuage également actuellement (les Montois ont signé une quatrième victoire consécutive, vendredi à domicile en étrillant Carcassonne 42-13). Mais série impressionnante ou pas, le dauphin ne peut rien espérer à ce jour face à un leader aussi impressionnant. Vendredi, Oyonnax n'a même pas eu besoin de plus d'une mi-temps pour plier tout suspense. A la pause, les Oyomen, grâce à trois essais de Credoz, Geledan et Ravouvou, avaient déjà pris le large. Taofifenua, sur un nouvel essai, et une pénalité de Soulan ont permis au leader de terminer tranquillement le travail.

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