Paul Rouget, Media365 : publié le mardi 29 avril 2025 à 17h25
En attendant la suite du championnat du monde de rallye-raid, Sébastien Loeb s'est confié sur son addiction... au café.
A 51 ans passés, Sébastien Loeb n'a aucune intention de raccrocher. Malgré sa nouvelle désillusion sur le Dakar. Comme en 2018 et en 2021, il a été contraint à l'abandon en janvier et est donc encore reparti bredouille du plus célèbre des rallye-raids, où il compte trois places de dauphin et deux de troisième en neuf participations.
Celui qui prend part cette saison au championnat du monde de rallye-raid sur sa Dacia Sandrider, aux côtés du Belge Fabian Lurquin, n'a pas encore réussi à s'y refaire. Et ce malgré une victoire lors de la deuxième étape de l'Abu Dhabi Desert Challenge, où il a ensuite été contraint à l'abandon après avoir de nouveau été victime d'un tonneau, comme au Dakar un mois et demi plus tôt.
« Je ne peux pas fonctionner sans »
En attendant le troisième rendez-vous, programmé en Afrique du Sud du 18 au 24 mai, l'Alsacien a un peu de temps libre, et il en a profité pour s'offrir une virée à bord de l'Alpine A110 GT+, la même avec laquelle il a remporté l'an dernier le rallye du Mont-Blanc, en compagnie d'un journaliste d'Auto-Hebdo.
Un journaliste à qui il a fait une petite confidence, après avoir enchaîné les cafés. « Je ne peux pas fonctionner sans », a avoué le nonuple champion du monde des rallyes, expliquant avoir « besoin d'avoir les yeux en face des trous. » « Lorsque je pars en essais avec Dacia au fin fond du Maroc ou ailleurs, je colle toujours une cafetière Nespresso dans ma valise. Je ne peux pas prendre le risque de boire du mauvais café pendant une semaine. Tout ce qu'il me faut, c'est un générateur où la brancher », conclut-il en riant.