Paris 2024 : Richardson, chef de mission des Bleus, veut "laisser une empreinte durable"

Paris 2024 : Richardson, chef de mission des Bleus, veut "laisser une empreinte durable"©Panoramic, Media365
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Thomas Siniecki, Media365 : publié le jeudi 13 juillet 2023 à 14h14

A presque un an de Paris 2024, les contours continuent de se dessiner pour l'équipe de France, dont les résultats seront scrutés comme jamais. Les deux guides fraîchement nommés sont lancés, eux aussi, dans leur aventure.

Jackson Richardson, médaillé de bronze en 1992 à Barcelone pour la première breloque internationale du handball français, porte-drapeau à Athènes en 2004 ; Michaël Jérémiasz, quadruplé médaillé en tennis fauteuil avec de l'argent (double) et du bronze (simple) à Athènes en 2004, de l'or (double) à Pékin en 2008 et du bronze (double) à Londres en 2012, porte-drapeau à Rio en 2016. Seuls deux monstres du sport français pouvaient être nommés pour occuper les postes de chefs de mission auprès des Bleus à Paris 2024. Ils séjourneront au village olympique, directement au contact des athlètes, afin d'apporter au quotidien toute leur expérience.

Jérémiasz : "Un grand honneur, une fierté et une reconnaissance"

Jackson Richardson, père de Melvyn qui devrait à son tour être un acteur important avec les Bleus du handball - et à nouveau, puisqu'il est déjà champion olympique en titre -, est "honoré" : "Ensemble, nous allons former une équipe unie, guidée par la vision commune de faire de Paris 2024 une réussite sportive pour tous les athlètes français. Préparons-nous à vivre des moments inoubliables et à laisser une empreinte durable dans l'histoire du sport français !"


Pour Jérémiasz, son homologue paralympique, c'est également "un grand honneur, aussi une fierté et une reconnaissance du travail et de l'expérience accumulée" : "Bien entendu, cette fonction ne peut s'entendre que comme un travail d'équipe, et je sais déjà que je pourrai compter sur le soutien de tous." Des adjoints plus opérationnels leur seront ainsi accolés afin de gérer l'immense travail logistique qui s'annonce. Comme le confirme Marie-Amélie Le Fur, autre ancienne médaillée paralympique devenue président du CPSF (l'équivalent paralympique du CNOSF), "à la maison, la mission de chef de mission revêt une tonalité très particulière".

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