Coupe CEV - Tours : De la déception pour Tillie et les siens

Coupe CEV - Tours : De la déception pour Tillie et les siens©Panoramic, Media365

Guillaume MARION, Media365 : publié le jeudi 24 mars 2022 à 00h15

A nouveau sèchement battus par Monza en finale de la Coupe CEV (3-0, 0-3), les Tourangeaux ont logiquement faire part de leur déception à l'issue de la finale, comme Kévin Tillie.

Il n'y a pas eu de miracle pour Tours. En effet, grandement attendu sur le parquet de la salle Robert-Grenon, le TVB n'est malheureusement jamais arrivé. Une semaine après leur défaite trois sets à zéro en Italie face à Monza, les joueurs de l'entraîneur brésilien Marcelo Fronkowiack n'ont pas réussi à inverser la tendance ce mercredi et ont connu une nouvelle défaite en trois manches, lors de la finale retour de la Coupe CEV. Au lendemain du sacre renversant de Narbonne en Challenge Cup contre les Turcs d'Ankara, les Tourangeaux auraient sans doute aimer en faire de même. C'était sans compter sur l'appétit du Hongrois György Grozer et des siens lors de ce rendez-vous européen. « On doit déjà tourner la page et se tourner sur Toulouse, a notamment réagi le capitaine Zeljko Coric. Il y a encore des titres à aller chercher. »

« S'y remettre à fond pour oublier »

Même son de cloche pour Kévin Tillie, logiquement déçu mais déjà tourné sur le prochain gros rendez-vous du TVB. « Quand c'est une finale, tu as envie de la gagner, donc forcément, on pense qu'on a déjoué, mais ils ont bien joué. Le plus difficile, ça va être de se reconcentrer. On a la Coupe de France qui commence à Toulouse, il faudra se remettre dès demain à fond. Ça va être dur. C'est dur de perdre comme ça alors qu'on a des échéances importantes qui arrivent. Il faut se reconcentrer direct aux entraînements, s'y remettre à fond pour oublier cette défaite », a expliqué le champion olympique à Tokyo en août dernier, dans des propos recueillis par L'Equipe. « Ça va être dur de se remobiliser, mais il ne faut pas qu'on oublie que si on nous avait dit en début de saison qu'on irait jusque-là, on aurait signé », a pour sa part reconnu Thiébault Bruckert.

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