Juba Touabi, Media365, publié le mardi 23 mai 2023 à 17h32
Jorge Messi, le père et agent de la star mondiale, aimerait voir son fils rejoindre le championnat saoudien cet été.
Où va atterrir le Champion du monde argentin la saison prochaine ? C'est la question que se pose les nombreux fans de l'attaquant du Paris Saint-Germain. Arrivé en fin de contrat avec le club français au terme de l'exercice sportif en cours, la « Pulga » dispose de plusieurs options pour la suite de son avenir.
Considéré comme la grosse priorité du FC Barcelone en prévision du prochain marché des transferts, Lionel Messi n'a toujours pas pris de décision jusqu'à présent. Il ne fait, toutefois, aucun doute que l'Argentin va quitter la capitale française cet été. Les deux parties n'auraient clairement pas avancé dans les discussions au sujet d'une prolongation de contrat.
Si la formation catalane a annoncé vouloir attirer l'attaquant de 35 ans, elle ne serait pas la seule à s'activer en coulisse dans ce dossier. L'Inter Miami, le club de la ligue américaine, aurait aussi pour objectif d'attirer l'un des meilleurs joueurs du football moderne. Le nom de Lionel Messi a également été cité du côté de l'Arabie Saoudite lors des derniers mois. Et ce serait cette dernière option qui aurait les faveurs de son père.
L'Arabie Saoudite offre un pont en or à Messi
Jorge Messi gère les intérêts de son fils depuis de très longues années. Selon les informations de la télévision catalane Betevé, le père de la star argentine serait séduit par l'offre gigantesque des Saoudiens. Ces derniers seraient prêts à sortir le grand jeu afin de faire signer le Parisien. Ils veulent recréer la rivalité entre l'Argentin et Cristiano Ronaldo au sein de la compétition saoudienne la saison prochaine.
De son côté, Lionel Messi veut repartir en Catalogne pour terminer sa carrière. Reste à savoir si son père pourra le persuader du contraire lors des prochaines semaines. Le joueur voue un énorme respect à son géniteur et il pourrait bien se laisser convaincre avec à la clé un contrat de deux ans assorti d'un chèque de 500 millions d'euros hors bonus.