Mercato : Henry évoque son avenir en tant qu'entraîneur

Axel Allag, Media365, publié le jeudi 22 décembre 2022 à 19h45

Actuellement entraîneur adjoint de la Belgique, Thierry Henry a toujours bon espoir de trouver un projet à la hauteur de ses aspirations dans le futur. Il s'est confié auprès de Ben Foster au micro d'Amazon Prime Video concernant son futur.

Quel futur pour Thierry Henry ? Alors que sa dernière expérience - du côté de l'Impact Montréal - date d'il y a désormais près de 2 ans, celui qui officie en tant qu'adjoint dans la sélection de la Belgique a accepté de confier certaines de ses aspirations à Ben Foster, ancien gardien de Manchester United ou encore Watford. Dans un entretien pour Amazon Prime Video - chez qui il est consultant en France - l'ancien attaquant de l'équipe de France a mis en avant son espoir de trouver le "bon projet". Estimant devoir faire preuve d'humilité en raison de son apprentissage perpétuel et le poste qu'il occupe avec la sélection des Diables Rouges - éliminés lors de la phase de groupes du Mondial 2022 - Henry a été cité parmi les potentiels successeur de Roberto Martinez, qui a quitté son poste après l'échec lors du tournoi planétaire.

"Si le projet est bon"

"Nous parlons de l'avenir. Un jour, je l'espère, si le projet est bon", a-t-il répondu concernant un futur sur un banc. Le deuxième meilleur buteur de l'histoire des Bleus (51 réalisations) a aussi évoqué sa première expérience en tant qu'entraîneur. C'était il y a désormais près de 4 ans, du côté de l'AS Monaco. Entre octobre 2018 et janvier 2019, Henry avait alors appris la cruelle réalité du métier, même si il avait dû composer avec un groupe miné par les blessures à la tête du club princier. "Je suis allé à Monaco, je ne pouvais pas le savoir mais je suis arrivé avec 13 joueurs blessés. Vous arrivez, ils m'ont donné deux mois et demi et j'ai été viré", s'est-il souvenu, dans des propos retranscrits par RMC. Récemment engagé avec Côme (Serie B) en tant qu'actionnaire, il avait aussi entraîné l'Impact Montréal (2019-2021), avant de prendre la décision de partir pour une raison familiale. "Je suis allé à Montréal et je suis revenu parce que je n'ai pas vu mes enfants pendant un an, c'était dur. C'était à la période du Covid. (...) Ne pas rentrer chez soi pendant quatre mois, c'était dur", a expliqué Henry, prêt à évaluer la prochaine opportunité qui se présentera à lui.

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