PSG : Un penalty oublié sur Kvaratskhelia ?

PSG : Un penalty oublié sur Kvaratskhelia ? ©Icon Sport, Media365

Paul Rouget, Media365 : publié le mercredi 30 avril 2025 à 09h42

Vainqueurs 1-0 sur la pelouse d'Arsenal en demi-finale aller de la Ligue des champions, les Parisiens auraient pu obtenir un penalty pour une faute sur Khvicha Kvaratskhelia.

Le PSG n'a pas manqué ses retrouvailles avec Arsenal, mardi soir à l'Emirates Stadium en demi-finale aller de la Ligue des champions. Les hommes de Luis Enrique se sont imposés 1-0, grâce à un but dès la 4e minute d'Ousmane Dembélé, sorti sur blessure à vingt minutes du coup de sifflet final mais qui a ensuite donné des nouvelles rassurantes. Une première victoire face aux Gunners qui aurait pu être plus conséquente si Bradley Barcola n'avait pas manqué un duel en fin de match, ou si les joueurs de la capitale avaient transformé leurs opportunités lors d'un début de match à sens unique, ou presque.

Un plaquage de rugbyman

Peu après le quart d'heure de jeu, le PSG aurait aussi pu bénéficier d'un penalty. Alors qu'il faisait vivre un enfer à Jurriën Timber, Khvicha Kvaratskhelia a été ceinturé en pleine surface par l'arrière droit des Gunners. Mais le Néerlandais n'a pas été sanctionné, alors que l'action s'est produite sous les yeux de l'arbitre, Slavko Vincic, qui n'a pas bronché. Les images sont pourtant confondantes, puisque c'est quasiment un plaquage de rugbyman que Timber a réalisé sur « Kvara », dont le tort est peut-être d'en avoir trop rajouté.


Joao Neves, le ballon d'abord ?

Les Londoniens, qui ont eu un but refusé en seconde période suite à une position de hors-jeu de quelques centimètres de Mikel Merino, presque couvert par... Kvaratskhelia, ont aussi cru bénéficier d'un penalty suite à une intervention de Joao Neves sur ce même Merino, en fin de premier acte. Et si le Portugais a bien touché le ballon du pied droit, certaines images laissent à croire qu'il a aussi touché le mollet de l'Espagnol avec l'autre jambe... Mais comme sur l'action impliquant le Géorgien, l'arbitre n'y a rien trouvé à redire. De quoi déclencher une (petite) polémique de l'autre côté de la Manche.

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