Axel Allag, Media365, publié le mardi 07 mars 2023 à 14h46
A la veille du 8ème de finale retour de Ligue des Champions face au Bayern Munich (mercredi, 21 heures), le bilan du PSG lors des matchs retours à élimination directe en C1 n'incite pas à l'optimisme. Pour autant, quelques exemples récents pourront consoler (un peu) les supporters du club de la capitale.
Le PSG déçoit très souvent lors des matchs retours en Ligue des Champions. Depuis 2013, le club de la capitale n'a remporté que 3 victoires pour 4 nuls et 9 défaites en 16 matchs. Un bilan qui, sur le plan très négatif, comporte évidemment quelques claques face au FC Barcelone (6-1), Manchester United (1-3) et la saison dernière face au Real Madrid (3-1). Ces exemples assez récents dans la mémoire ne doivent pas occulter certains autres revers concédés contre Manchester City ou Chelsea, sans oublier le Barça et le Real, encore eux, qui ont été des bourreaux dans les rêves de C1 du PSG. La dernière victoire sous QSI remonte à 2020, face au Borussia Dortmund d'Erling Haaland à l'époque (2-1).
Un seul succès pour le PSG à l'extérieur dans un match retour de Ligue des Champions sous QSI
Il faut remonter à loin pour trouver trace du seul succès du PSG à l'extérieur dans un match retour de Ligue des Champions : face à Chelsea en 2016. Tandis qu'il s'était imposé 2-1 lors de l'aller au Parc des Princes, le PSG avait gagné sur le même score à Stamford Bridge. Mercredi soir, sur la pelouse de l'Allianz Arena, les joueurs de Christophe Galtier devront tenter de renverser la vapeur à l'extérieur alors que, pour rappel, Paris a concédé une défaite lors du match aller, disputé le 14 février dernier au Parc des Princes (1-0). Samedi soir, après être devenu le meilleur buteur de l'histoire du club de la capitale avec 201 réalisations - devant Edinson Cavani - Kylian Mbappé a prévenu : "Il y a une grande rencontre qui nous attend mercredi. On va là-bas avec un objectif clair". Une qualification éventuelle dans un tel contexte serait inédite sous QSI pour le PSG, qui n'est plus à un paradoxe près.